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Sara O'Towmey.

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Sara O'Towmey
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Sara O'Towmey
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Sara O'Towmey. _
MessageSujet: Sara O'Towmey. Sara O'Towmey. EmptySam 6 Mai - 2:08

SARA O'TOWMEY

the story of..
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Nom —
o'towmey.
Prénom —
sara caithleen.
Date de naissance —
née le 30 avril 1967.
Lieu de naissance —
dans un village à côté de ballyseedy woods, dans le comté de kerry, tout au sud de l'irlande.
Signe astrologique —
taureau.
Nationalité —
irlandaise.
Origines —
tout autant de nationalité que d'origine irlandaise, quoi que dans son sang coule probablement un melting-pot celte, allant de l'Irlande à l'Ecosse et passant par le Pays de Galles et même la Bretagne, faisant d'elle une sang-mêlée jusque dans ses origines.
Orientation sexuelle —
hétérosexuelle.
Statut matrimonial —
actuellement célibataire depuis plusieurs mois, les relations sentimentales de Sara ont toujours eu un goût pour le moins catastrophiques : jamais aucune d'entre elle ne dura plus de quelques semaines, quelques mois maximum, finissant toujours par se faire quitter ou par quitter elle-même, quoi que plus rarement, ses compagnons.
Emploi —
ancienne éleveuse de créatures magiques pour les sports en tout genre, elle a pratiqué pendant plus de dix ans ce métier avant d'être obligée de le laisser tomber pour fuir. il mêlait cependant son amour pour les créatures magiques ou pour les sports, lui permettant de vivre doublement de ses passions, quoi qu'un peu par procuration.
Casier Judiciaire —
si elle n'a jamais été arrêtée pour ces infractions, elle est déjà entrée par effraction dans la maison d'un de ses ex pour y récupérer la paire de chaussettes qu'il avait décidé de garder en otage - si elle n'en n'avait pourtant strictement rien à faire, c'était une question de fierté pour elle de la récupérer.
The fire, baby. It'll burn us both. There's no place in this world for our kind of fire. My warrior woman. My valkyrie. You'll always be mine. Always. And never. — Frank Miller

Nature du Sang —
mêlé : issue d'une famille qui apprécie l'hétéroclisme et la différence sous tous ses genres, Sara possède une mère sorcière et un père moldu, fier qu'il est de vivre avec deux sorcières autour de lui. tous ont également un grand respect pour la magie et l'art de la pratique.
Parcours Scolaire —
ancienne élève de gryffondor, elle marqua le doute pour le choixpeau lors de son admission à l'école, qui se posa la question quant à ce qui conviendrait le mieux entre la maison du lion, et poufsouffle. possédant des qualités des deux maisons, elle fut cependant envoyer chez les rouges et ors, pour sa bravoure, sa hardiesse, sa force et sa détermination. parcours scolaire mitigé pour la jeune sorcière qu'elle était : si elle aimait l'apprentissage, l'adorait, elle avait cependant un comportement agité, impatient et un attrait particulier pour les expériences en tout genre, qui lui valurent quelques heures de colles au cours de ses années Poudlard malgré ses notes qui pouvaient, dans certaines matières, se trouver être excellente - quand elles l'étaient nettement moins dans d'autres. si elle tenta d'intégrer l'équipe de quidditch de gryffondor à l'époque et qu'elle réussit, elle n'y resta pourtant pas longtemps, faute d'une indiscipline et d'une désinvolture qui causèrent son renvoi de l'équipe.
Localisation —
on the run.
Baguette —
bois d'acajou (symbole de bravoure), cheveu de sirène, dix-neuf centimètres, prédisposée aux sortilèges défensifs. achetée quand elle avait onze ans sur le chemin de traverse.
Patronus —
c'est le museau d'une loutre qui se pointe lorsqu'elle lance le sortilège du patronus : symbole d'immortalité, d'amour de l'apprentissage et de la création, du plaisir de vivre, de la force féminine, de la bonté partagée et de l'amour simple et sain, valeurs dans lesquelles ses parents tentèrent de l'élever.
Amortentia —
rhum ambré et vanillé, tabac sec, whisky et carburant de magicobus. localisation.
Épouvantard —
si son épouvantard ne semble pas visible, c'est tout bonnement car il représente le vide, le rien, ce qu'elle est persuadée qui l'attend dans l'après-vie : le néant. en outre, son épouvantard représenterait sa propre définition et interprétation de la mort.
Pensine —
Sara pourrait être un véritable album photo, l'archiviste des moments les plus cons vécus par les membres de sa famille : elle se rappelle d'absolument toutes les frasques de son frère, dwayne, de toutes ses chutes, de toutes les petites humiliations qu'il a vécu. aussi n'est-ce pas rare de la voir rire toute seule d'un seul coup lorsqu'elle se perd dans les tréfonds de sa mémoire comme une chasseuse de trésor.
Miroir du Rised —
Sara y verrait probablement un reflet flou, déformé et indistinct. non pas que rien ne puisse la rendre heureuse, mais simplement parce qu'elle n'a pas besoin d'un miroir pour savoir ce que serait l'objet de son bonheur. aussi y verrait-elle probablement, parmi les images approximatives, ce qu'elle a déjà vécu, traduisant son désir de retrouver sa vie d'avant, Mickey à ses côtés.
Particularité Magique —
aucune.
Allégeance —
combattante solitaire, elle se dresse pourtant contre lord voldemort.

Traits de caractère —
maternelle, spontanée, impulsive, douce, inconstante, forte, désinvolte, nonchalante, indisciplinée, sans-gêne (effrontée), patiente, caractérielle, charmeuse, séductrice, physique, volubile, assertive, expressive, tendre, mutine, taquine, joueuse, combative, hardie, déterminée, passionnée, têtue voire opiniâtre, digne, protectrice, franche du collier, ne mâche pas ses mots, arrogante - peut se montrer présomptueuse -, maline, ronchonne, peut se montrer agressive, voire violente, terre-à-terre, entière, indépendante, superstitieuse, désordonnée, mordante, besoin d'être dominée et contrôlée, charretière, compétitrice, attentive.

Signes distinctifs —
un petit « joy » tatoué sur le poignet droit, prénom de sa maman, et un oiseau tonnerre sur la moitié gauche de son dos, partant de son épaule et arrivant dans le creux de ses reins - ses ailes bougent parfois nonchalamment, principalement lors de moments intimes.

— FAMILY TREE : THE ROOTS

On a souvent comparé les O'Towmey à des virus : mettez en un dans un lieu vierge de toute contamination, laissez le faire son business pendant quelques temps – donnez lui une dead line d'allez, cinq ans pour une femelle, moitié moins pour un mâle –, et revenez. Vous aviez un O'Towmey à l'époque ? Vous en aurez dix à votre retour. Un virus. Branches moldues comme sorcières parviennent à se frayer, non pas un chemin, mais un véritable boulevard dans les vies de ceux qu'ils rencontrent, laissant derrière eux une trace qui se veut faite au fer rouge – une amitié des plus profondes et des plus sincères, un mariage, voire quelques gamins pour saupoudrer le tout. Et ceci, mesdames et messieurs, n'est le résultat que du bouquet de branches des O'Towmey. Car, près d'eux, vous trouverez des familles dont les noms ne deviendront plus seulement reconnaissables ou familiers, mais véritables références dans le comté de Kerry, au sud de l'Irlande. Si l'on ne sait très exactement comment ils sont arrivés dans les parages, les O'Towmey – et autres O'Donnell, O'Malley ou Easnadh – sont là depuis tellement de générations qu'ils ont l'air d'avoir vu naître l'île, de l'avoir créer de leurs propres mains et de leurs propres baguettes. On dit d'eux qu'ils virent apparaître la magie au creux des mains des hommes, qu'ils furent parmi les premiers à former une petite boule entre leurs doigts, et à trouver qu'en faire. Les légendes autour d'eux racontent qu'ils rencontrèrent Merlin lors de ses voyages, qu'ils furent parmi ses instituteurs, ses précepteurs. Les O'Towmey sont à la magie ce que la cerise est au gâteau, l'orange à la patacitrouille, le wingardium au leviosa. Et pourtant ne sentent-ils pas couler dans leurs veines un sang d'un bleu céruléen, celui de la pureté que beaucoup de sorciers recherchent et tentent tant bien que mal de préserver. Aussi vieille est-elle, la famille O'Towmey – et autres O'Donnell, O'Malley ou Easnadh – n'a jamais porté sur la pureté du sang le regard envieux ou avare que d'autres peuvent avoir, cherchant à préserver ou à atteindre un Pedigree dont l'intérêt n'est que moindre aux yeux des irlandais. Sans doute est-ce là la raison pour laquelle ils se reproduisent aussi vite – et ils votèrent, il y a de ça quelques années, pour que l'emblème de la famille prenne l'apparence d'un lapin, si possible avec le feu au cul –, et sans doute est-ce également celle pour laquelle bien des regards dédaigneux sont portés sur eux. Chiens, minables, pitoyables, nombreuses sont les insultes portées à leur égard et qu'ils brandissent toujours comme un étendard, à la façon d'un pied de nez certain aux plus pètes-secs qu'ils pouvaient connaître. Les O'Towmey jouirent d'une telle réputation dès les premiers âges de la magie, alors que leur nom ne s'épelait ni ne se prononçait de la façon dont il s'échappe dans le petit interstice de toutes les lèvres. Car jamais, ô grand jamais ne leur vint à l'idée la possibilité de choisir la personne qu'ils aimeraient pour son sang plus que pour sa personnalité, son sourire, ou la cambrure de ses reins – précision apportée ponctuée par un éclat de rire de la part de beaucoup de mâles de la famille. Virals. Impurs. Ils se complaisent dans les grossièretés qu'on leur assène, dans les sobriquets de tout genre – animaliers, orduriers, sur un possible inceste et une consanguinité suggérée –, préférant taper le cul de leur bièraubeurre sur un comptoir plutôt que le visage cireux de ceux qu'ils jugent trop précieux pour oser mettre un pied en dehors de leurs manoirs.

— FAMILY TREE : THE BRANCHES AND THE LEAVES

Si les O'Towmey se reproduisent bien plus rapidement qu'il n'en faut pour le dire, sachez cependant que tous ne correspondent pas à l'image du lapin : s'ils ont effectivement le feu au cul, certains connaissent les pratiques nécessaires à la non-reproduction (vous savez : contraception, retrait, tout ça). Parmi eux, trouvez Joy (née Badurnn) et Bearach O'Towmey, parents de Dwayne (trente-quatre ans aujourd'hui) et Sara O'Towmey. S'ils aiment leurs enfants plus encore qu'ils ne pourraient aimer leur propre vie, s'ils les chérissent, les protègent, les soignent et parfois encore les papouillent aussi longtemps qu'ils le peuvent, loin d'eux l'idée de se retrouver avec une équipe de Quidditch entre les pattes. Les O'Towmey prêtent à la famille une valeur bien supérieure à celle de la vie elle-même : sacrifie toi, mais uniquement pour ceux dont le sang est identique au tien. Mais juste après celle-ci, et juste avant la vie, encore une fois, trouvez dans leur liste des priorités une notion qui n'est inconnue de personne dans la théorie, mais bien souvent dans la pratique pourtant : la liberté. Et votre liberté s'arrête là où commence celle des autres, non ? C'est pour cette raison que Joy et Bearach, aussi aimants et tendres puissent-ils être, refusaient de limiter un peu plus encore leur liberté, peut-être un peu égoïstement aux yeux de certains. Et pourtant, dans cette limitation imposée – comme celle que vous trouverez dans certaines zones quant à la vitesse de votre balais –, ils parvinrent à trouver un équilibre qui leur paru, toute leur vie durant, être parfait. Deux enfants, deux frères et sœurs, qui pourtant ne grandirent absolument pas seuls. Dans le comté de Kerry, sud de l'Irlande libre, dans un village à côté de Ballyseedy Woods, caché entre les arbres du bois, sorciers comme moldus vinrent construire brique par brique et pierre par pierre leurs vies. Parmi eux, les O'Towmey – et autres O'Donnell, O'Malley ou Easnadh – qui, entourés les uns des autres, permirent à leurs enfants de grandir côte à côte et de ne jamais être seuls. Dans ce petit village, dont le nom échappe souvent aux personnes alentours, aucune porte n'est jamais verrouillée, ni même réellement fermée. Communauté hétéroclite et pourtant soudée – vous ne trouverez aucune forme de racisme ni de discrimination parmi eux, car autant puissent-ils être différents les uns des autres, ils possèdent une idéologie commune leur permettant de trouver une paix générale au delà des petits conflits adolescents qui rythme la vie du village –, chacun possède un permis d'entrée pour la maison des autres, chacun se voit autorisé à aller se réchauffer au coin d'un feu ou à se désaltérer grâce au whisky pur feu gardé sur les étagères du voisin sans ressentir le besoin de demander avant l'autorisation. Dans un endroit où tout était permis à tout le monde, souvent aurait-on pu penser que les choses déborderaient. Mais non : presque petit coin de vie idyllique – pour des irlandais tout du moins –, les quelques disputes de famille étaient les seules choses qui restaient cloisonnées entre les murs des maisons, et si les parents veillaient de façon plus ou moins ardues à l'éducation de leurs enfants, tout à chacun mettait la main à la pâte. Ainsi, les enfants grandissaient sans grands moyens financiers – les maisons étaient peu chères car autrefois isolées, et très peu d'emménagements et déménagements furent à déplorer au fil non pas des années, mais des siècles – mais possédaient tout dix, quinze pères, et tout autant de mères. Alors sans doute est-ce pour toutes ces raisons bien précises que les O'Towmey – et autres O'Donnell, O'Malley ou Easnadh – ne possèdent pas les manières les plus raffinées que l'ont pourrait trouver dans la société, sans doute est-ce pour ces mêmes raisons que parents comme enfants se tournèrent tous vers des métiers se voulant plus manuels que purement intellectuels – créateur de balais magiques pour Bearach, tenancière du petit pub du village pour Joy, éleveuse de créatures magiques de sport pour Sara et chaudronnier pour Dwayne –, et sans doute finalement est-ce également pour tout cela qu'ils ne feront ô grand jamais l'unanimité dans les chaumières et autres manoirs, mais peu puisse leur importer : ils savent d'où ils viennent.

— ALWAYS GOLD

La scolarité de Sara a Poudlard a toujours été.. comment dire ? Approximative. Voilà le mot. En témoignent ainsi les diverses notes qu'elle put obtenir au cours de ses buses (botanique : acceptable, défense contre les forces du mal : efforts exceptionnels, métamorphose : acceptable, potions : désolant, sortilèges : efforts exceptionnels, histoire de la magie : piètre, astronomie : troll, études des moldus : optimal, soins aux créatures magiques : optimal), couvrant l'intégral du spectre de notation de l'école. Partagés entre le dépit et la fierté grondante pour leur petite fille, Joy et Bearach accueillirent ces notes avec une moue perplexe et elle aussi approximative, tout en se décidant finalement à laisser de côté, comme ils l'avaient toujours fait, le principe de punition, et en organisant au cœur du village une fête qui ferait tonner jusque les fenêtres des maisons. Si les notes de Sara ne connurent jamais une croissance proportionnelle dans toutes les matières, la raison en a toujours été très simple : elle possédait le même syndrome que tous les O'Towmey peuplant la Grande-Bretagne, et se caractérisant par l'impossibilité de se concentrer et de s'intéresser à ce qui, justement, manquait grandement de cet intérêt à ses yeux. Potions, astronomie, et histoire de la magie ne parvenaient à la faire frissonner plus qu'ils ne réussissaient à lui faire doucement fermer les yeux, jusqu'à se perdre dans un sommeil lui faisant voir des choses qui, elles, étaient en mesure d'agiter son cœur. Au fur et à mesure que Sara décrocha de certains matières, laissant derrière elle l'idée même de progresser dans celles-ci, elle développa un intérêt tout particulier pour les créatures magiques et le soin qu'il fallait leur apporter, les techniques d'entraînement que l'on pouvait ou ne pouvait pas utiliser sur elle, celles d'élevage qui, bientôt, finirent de lui mettre dans les yeux cet éclat plus vif encore que celui qui les animaient lorsque, petite fille, elle regardait les oiseaux que son père faisait apparaître du bout de sa baguette, dans une petite touffe d'étincelles dorées. Plus vite encore qu'il naquit, l'intérêt se mua, passant d'une curiosité à une réelle passion qui, dévorante, pouvait la maintenir éveillée des heures entières, même après que le soleil ait pu tirer sa révérence. Ingérant et digérant des bouquins entiers sur le sujet, connus comme moins connus, une fois, deux fois, trois fois pour certains, s'imprégnant de chaque mot, chaque virgule, point, lettre, accent et apostrophe qui construisaient sous ses yeux des paragraphes qu'elle finit par connaître par un cœur passionné. Se créant parfois des insomnies pour pouvoir continuer ses lectures, Sara se fit peu à peu cataloguée par ses professeurs, sans pour autant que les appréciations ne concordent : élève dissipée, absente, sans intérêt et dérangeante de par les ronflements qui s'élevaient parfois de son corps semblable à une loque dans certains cours, et élève passionnée, motivée, monopolisant la parole et questionnant sur chaque sujet pouvant être questionné dans d'autres, Sara provoquait parfois chez ses professeurs, en dehors de quelques ulcères, l'incompréhension : était-ce réellement la même élève ? Si certains mirent, les premières semaines et les premiers mois, sa passion nouvelle pour les créatures magiques sur le dos d'une lubie qui ne durerait que peu, symptomatique des adolescents et adolescentes, sorciers comme moldus, ils comprirent pourtant bien vite qu'elle était devenue une part entière de Sara, un morceau d'elle que l'on ne pouvait plus dissocier et qui, plus de dix-huit ans plus tard, continue toujours de faire battre son cœur dans une cadence qui lui est propre.

— THE ROAD TO NOWHERE

La vie de Sara pouvait sans doute paraître à la fois d'une banalité affligeante – vivant encore dans le même village que ses parents, logeant dans la petite maison biscornue à côté de la leur, parcourant le monde magique au gré de son travail, apprenant à connaître les différentes cultures bien plus au travers des pubs que des livres – et d'un intérêt dingue de par ce qui pouvait la rythmer. Si elle ne s'arrêtait jamais de bouger, dressée sur la pointe de ses pieds comme sur des ressors, elle ne quittait jamais non plus le sourire qui s'affichait sur son visage et dont on ne pouvait la dissocier ; devenu marque de fabrique de la sorcière, tout autant que pouvaient l'être son effronterie et son opiniâtreté, il s'est pourtant quelque peu envolé depuis l'éclatement des hostilités entre différents clans dont elle ne parvenait à comprendre l'intérêt. Si elle n'était pas la dernière des idiotes, si elle ne manquait pas de culture, s'imprégnant à chacun de ses voyages des informations que l'on acceptait de lui glisser au détour d'une bière, d'un whisky, d'une vodka ou d'un gin, Sara ne pu s'empêcher de se questionner sur l'intérêt réel de l'explosion de tels conflits. Devait-elle se sentir inférieur de par ses origines moldues, qu'elle avait pourtant toujours perçu comme une force, une ouverture d'esprit que lui avait offert l'union et la procréation de ses parents ? Ne disait-on pas, à juste titre, que les bâtards étaient justement les plus résistants ? Perturbée autant qu'elle pouvait être perdue face à la vitesse que semblaient avoir prit les choses dès qu'elles apparurent aux yeux de tous, Sara dû prendre quelques jours pour remettre ses idées en place, ses doigts étroitement serrés autour d'une bouteille de whisky pur feu que son père n'avait de cesse de remplacer dès que la dernière goutte tombait dans le creux de sa gorge. Peu à peu, goutte à goutte, l'incompréhension tira sa révérence face à la colère qui grondait dans le creux de son ventre ; si Sara avait toujours eu tendance à se laisser aller dans les bras de l'impulsivité, une fois n'était pas coutume. Son sac à dos se retrouva rapidement sur son dos, couvrant en son cœur de tissu nécessaire de survis, souvenirs à emporter, et ancrage à sa vie qui, rapidement, deviendra sa « vie d'avant », et elle parti, sans trop savoir vers où dans un premier temps. Traversant d'abord l'Irlande pour rejoindre l'Angleterre, Sara se mêla un des groupes puis d'autres, prenant dans leurs pensées, leurs techniques, leurs stratégies ou parfois ne serait-ce que dans leur espoir ce dont elle pouvait nourrir le sien, continuant sa route, jusqu'à se dessiner comme une guerrière indépendante, rebelle face au pouvoir qui, pas à pas, dans une course dont elle ne discernait pas toujours très bien les étapes, se mettait en place. Si elle savait qu'elle ne serait sans doute jamais celle qui le ferait tomber à la renverse, celle qui parviendrait à mettre un terme à cette histoire, Sara, pour rien au monde, ne lâcherait sa baguette. Évoluant pendant des mois en solitaire ou en abeille (butinant un groupe pour ensuite passer à un autre lorsque l'occasion se présentait), elle tend, depuis quelques mois, à se lier réellement à un groupe, composé de Mickey, Lyndia, Nymphadora et Remus, retrouvant par moment un acolyte, Hastein, se galvanisant de ses échanges avec chacun d'entre eux, de ce qu'ils ont à lui donner, et qu'elle ne leur prendrait pourtant pas réellement. Ainsi, Sara continue de s'imprégner, de se nourrir dans le reflet que les autres lui envoient, piochant en eux les vivres qui lui sont nécessaires, et sentant les défaillances de son cœur se prononcer de plus en plus face aux sourires de Mickey.

— WIZARD WHEEZES

Depuis qu'elle a onze ans, âge auquel son grand frère, Dwayne, lui offrit, Sara garde avec elle son édition des Animaux Fantastiques comme s'il s'agissait de son plus précieux trésor. Livre à l'origine, entre autres ouvrages, de son amour passionnel pour les créatures magiques, il a été le vecteur d'un rêve qu'elle parvint à réaliser, et s'est mué, au fil des années qui passèrent, en véritable symbole pour la sorcière, mêlant ses souvenirs d'enfance à la preuve de sa réussite professionnelle ; après tout, peu de gens peuvent se targuer d'avoir, dans leur vie, réaliser un rêve d'une ampleur semblable à celle de celui qui l'animait depuis qu'elle n'était qu'une enfant. De la sorte, depuis son départ de sa petite maison biscornue – affectueusement prénommée Jolly, par ailleurs –, il dort dans le ventre de son sac à dos, voyant en même temps qu'elle le pays qu'elle tente de traverser. Si certaines pages sont cornées, si les coins de la couverture s'abîment peu à peu et se trouvent recouverts de morceaux de scotch, ce livre est probablement son grigri le plus important, la chose matérielle qui compte le plus pour elle, en dehors du pendant qu'elle porte autour de son cou. — Le dit pendant qui dort continuellement contre sa poitrine est un présent lui venant de sa grand-mère, obtenue elle-même de ses différents ancêtres. Sa création remontrait à la naissance de la magie en Irlande, à la création même de la lignée des O'Towmey, à laquelle elle appartient. Ainsi, vieux de plusieurs centaines d'années, le collier possède une valeur sentimentale probablement aussi forte que la valeur matérielle qu'il pourrait avoir (elle l'ignore cependant, n'ayant jamais jugé bon de s'y intéresser) : représentant une feuille stylisée et dessinée dans de l'argent, sertie d'une pierre semblable à un émeraude ayant perdu quelques peu de sa brillance au fil des années qui n'eurent de cesse de le polir, il pourrait être estimé à plusieurs milliers de galions si l'envie prenait à la famille de tenter l'expérience. Il n'en sera pourtant jamais rien, et Sara, ainsi, le garde jalousement caché contre le clivage de ses seins, jamais loin du battement de son cœur. Invisible à la vue des autres sorciers à moins de lui voler un aperçu de sa silhouette dénudée, elle semble simplement porter une chaîne d'argent autour du coup, dont la pointe reste inconnue pour les trop curieux. — « Don't call me doll ». Féministe de première, Sara refuse les traitement misogynes ou sexistes que peuvent lui réserver certains hommes. Ainsi, dans cette même impulsivité qui la caractérise, elle réfute en force chaque surnom qu'un homme peut lui adresser et qu'elle juge susceptible d'être rabaissant, et tout particulièrement celui de « poupée » que beaucoup ont pourtant tenté de lui attribuer, face à ses grands yeux, sa taille fine et élancée, et ses longs cheveux bruns qui encadraient son visage. Ils n'essayèrent cependant pas longtemps. — Si les relations amoureuses de Sara semblent vouée à l'échec depuis l'âge de ses premiers émois – plutôt semblables à une attraction physique ou à un désir sexuel virulent (Sara aime le sexe, l'assume et ne s'en cache en rien, avouant parfois, après quelques verres, nourrir le désir de vivre sa vie sexuelle à la manière d'un homme – elle ne s'en prive d'ailleurs pas lorsque l'occasion se présente, réussissant le plus souvent à tenir les rennes) –, elle semble pourtant connaître une inclinaison sentimentale nouvelle. Le désir sexuel, peu à peu, se couple à celui de son cœur qui, quand il croise le regard de Mickey Crabtree, ou le sent se poser sur son corps, ne paraît pouvoir retenir la cadence infernale qui le secoue alors. Ainsi, depuis quelques temps, elle se questionne sur l'allégeance que son palpitant est prêt à prendre. — En tant qu'irlandaise et fière de l'être, Sara sait boire « comme un homme », expression qui la révulse presque autant que les surnoms que ces derniers cherchent parfois à lui donner. Ainsi est-elle capable de tenir une longue distance en enchaînant les verres d'alcool, possédant un entraînement qui n'est plus à remettre en cause depuis des années. Il n'est par conséquent par rare de la voir craquer face à une bièraubeurre ou un whisky pur feu qui traîne par là. — Parmi les vices que possède la sorcière, la cigarette en fait partie. Amatrice de tabac, elle fut élevée aux roulées bien avant les cigarettes industrielles, et a eu tendance à garder cette habitude inculquée par les gens de son village. N'aimant cependant pas l'odeur que peu avoir son haleine après avoir fumer, Sara prend soin de boire une potion qui neutralise les odeurs de tabac lorsqu'elle peut en trouver, ou mâchouille quelque chose jusqu'à la faire disparaître lorsqu'elle est dans l'incapacité de mettre la main sur l'une d'entre elle.
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Mickey Crabtree
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Mickey Crabtree
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MessageSujet: Re: Sara O'Towmey. Sara O'Towmey. EmptySam 6 Mai - 2:15

SARA. Sara O'Towmey. 1585764130 Sara O'Towmey. 1585764130 Sara O'Towmey. 1585764130 Sara O'Towmey. 1585764130 Sara O'Towmey. 1585764130
la fille la plus sexy de la planète. Sara O'Towmey. 3365138009 Sara O'Towmey. 3365138009 Sara O'Towmey. 3365138009

tu sais déjà combien je l'aime.  Sara O'Towmey. 2552085587  Sara O'Towmey. 2552085587
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Aizen Gillians
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Aizen Gillians
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MessageSujet: Re: Sara O'Towmey. Sara O'Towmey. EmptySam 6 Mai - 10:02

Sara, c'est bon de la retrouver ici où je suis sure que je pourrai encore plus la découvrir Sara O'Towmey. 2298300132 elle est fascinante, brûlante, brute, bref je l'aime. Sara O'Towmey. 3837774239
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Sara O'Towmey
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MessageSujet: Re: Sara O'Towmey. Sara O'Towmey. EmptySam 6 Mai - 11:49

cessez d'être des amours sérieux (non, ne cessez pas) Sara O'Towmey. 3365138009 Sara O'Towmey. 3365138009
tu vas pouvoir découvrir Sara de fond en combles Raph [strike]comme Mickey[/strile], et puis.. si jamais.. sur VS.. t'as envie de tenter le frangin.. Sara O'Towmey. 3908392002
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Khaev Raeis
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MessageSujet: Re: Sara O'Towmey. Sara O'Towmey. EmptyMar 9 Mai - 10:07

ELLE EST TROP BELLE.
Sara O'Towmey. 2946739166 Sara O'Towmey. 2946739166 Sara O'Towmey. 2946739166
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Elon Nott
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MessageSujet: Re: Sara O'Towmey. Sara O'Towmey. EmptyMar 9 Mai - 10:47

Sara O'Towmey. 2946739166 Sara O'Towmey. 2946739166 Sara O'Towmey. 2946739166
cesse d'être un chou, ou mon cœur va lâcher.
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MessageSujet: Re: Sara O'Towmey. Sara O'Towmey. Empty

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