Daphne Greengrass.

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DAPHNE GREENGRASS

teenage wildlife

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Nom —

greengrass, héritière de ce qui pourrait s'apparenter, dans certains esprits, à une véritable dynastie.

Prénom —

daphne cedrella.

Date de naissance —

le dix mars 1980.

Lieu de naissance —

le manoir greengrass, en banlieue chic du londres sorcier.

Signe astrologique —

poisson.

Nationalité —

anglaise.

Origines —

purement anglaises également.

Orientation sexuelle —

hétérosexuelle.

Statut matrimonial —

fiancée contre son gré dans le cadre d'un mariage arrangé avec la famille x.

Emploi —

officiellement encore étudiante à poudlard, dans la maison serpentard, daphne a été en réalité, comme sa soeur, rappelée chez elle pour éviter qu'elles ne soient mises en danger par la présence des mangemorts et les hostilités qu'elle créé avec certains élèves des maisons autres.

Casier Judiciaire —

totalement vide.

No wonder he was so good with horses, I thought blearily, feeling his fingers rubbing gently behind my ears, listening to the soothing, incomprehensible speech. If I were a horse, I’d let him ride me anywhere. — Diana Gabaldon.

Nature du Sang —

issue d'une très vieille famille de sang-pur, Daphne est une héritière sur les épaules de laquelle reposent bien des tourments.

Ecole de sorcellerie —

suivant avec une fierté qu'elle ne pu dissimuler les pas de ses ancêtres, Daphne entra, à l'âge de onze ans, à l'école de sorcellerie de Poudlard, et trouva sa place sur les bancs de la maison d'émeraude et d'argent, sans qu'aucun doute ne puisse être permis : fierté, ambition, grandeur, noblesse, et dédain des règles, tant de qualités comme de défauts recherchés par la maison qu'elle possédait en elle.

Parcours Scolaire —

au-delà de sa coquetterie et de sa féminité très marquées, Daphne fut à Poudlard parmi les élèves les plus hauts placés dans le classement scolaire. faisant partie des meilleurs élèves de sa promotion chaque année, beaucoup furent surprit de découvrir une petite fille, puis adolescente, puis jeune femme curieuse et studieuse, connaissant l'importance d'accumuler des compétences et du savoir. si daphne fit partie du club de duel de serpentard, elle ne tenta cependant pas de devenir par la suite préfète, préférant singer avec ses amies ces derniers.

Localisation —

oscillant entre le manoir Greengrass et les rues de Londres, elle se permet de vagabonder avec un peu trop de liberté là où bon lui semble, cherchant à éviter les préparatifs de son futur mariage.

Baguette —

bois de tremble (élégeance, ressemblance avoir l'ivoire, et charme exceptionnel), épine du monstre de la rivière blanche (produit des sorts mélangeant force et élégance), 23 centimètres (longueur classique), semi-fine (douée dans les sortilèges élégants et raffinés), flexible (adaptable au changement).

Patronus —

peinant parfois à apparaître, il prend cependant la forme d'un paon : noblesse, beauté, pouvoir, vanité, séduction, il est également l'oiseau d'héra,, déesse protectrice des femmes, du mariage et gardienne de la fécondité.

Amortentia —

un savant mélange de terre mouillée, de jasmin d'inde, de thé vert à la menthe, avec un voile d'odeur de brûlé qu'elle n'a jamais pu identifier avant de rencontrer charlie weasley.

Épouvantard —

il lui renverrait probablement sa propre image, isolée et ignorée de tous, obligée à porter le poids d'une solitude qu'elle n'a jamais voulu et qui, à simplement l'imaginer, lui noue le ventre et la gorge.

Pensine —

bien plus que ses premiers pas à Poudlard, ce sont ceux de sa petite sœur, Astoria, qui la marquèrent particulièrement. elle revoit encore le visage à la fois surpris, impressionné et particulièrement heureux de sa cadette, et la façon qu'elle eut de s'avancer vers elle lorsqu'elle fut admise à Serpentard, pour trouver dans les bras de Daphné toutes les félicitations de la famille Greengrass.

Miroir du Rised —

le miroir lui montrerait probablement son reflet, entouré d'une famille qu'elle aurait fondé avec un époux mais qui, lui, ne lui aurait été imposé par sa famille ; un visage flou se tiendrait à ses côtés, mais elle ressentirait en le voyant, malgré tout, l'emballement de son cœur dans sa poitrine, et cette joie qui nous soulève lorsque nous voyons l'être aimé, espérant pouvoir se lover dans ses bras.

Particularité Magique —

aucune.

Allégeance —

héritière de la famille greengrass, daphne est d'une descendance qui croit dur comme fer au pouvoir et à la domination du seigneur des ténèbres. si elle faisait partie de cette même descendance admiratrice de voldemort, elle ressent aujourd'hui un doute léger qui ne l'avait pourtant jamais étreint auparavant.

Traits de caractère —

capricieuse (a été élevée comme une petite princesse par ses parents), narcissique voire présomptueuse (fut éduquée pour savoir où était sa place, dans l'idéologie suprématiste des Greengrass), déterminée : obtient ce qu'elle veut quand elle le souhaite, pragmatique : la petite fille rêveuse a été très vite mise au placard pour faire place à la femme en devenir, peut se montrer hautaine, voire un peu snob, fidèle à défaut d'être totalement loyale, peut devenir très vite possessive en amour : elle n'apprécie pas que l'on tourne autour de l'homme qu'elle aime, a été élevée dans l'idée d'être une jeune femme ambitieuse, tout en sachant garder sa place dans l'ombre d'un homme, curieuse : elle s'intéresse beaucoup à ce qu'elle ne connaît pas dans certains domaines (beaucoup moins dans d'autres), ingénieuse : sait s'arranger pour obtenir ce qu'elle souhaite dans la limite du raisonnable (elle n'est pas infaillible), narquoise, féline, malicieuse, bornée : elle reste facilement bloquée sur les idées qu'elle se fait, toute en coquetterie, féminité et élégance : si l'habit ne fait pas le mage, il participe cependant à la vision que l'on se fait de lui, charmeuse à presque en devenir aguicheuse, n'est pas totalement indépendante : a besoin de la présence de quelqu'un près d'elle pour se sentir mieux, a la larme et le rire faciles, soumise a une anxiété à la fois sourde et muette qu'elle tente de gérer comme elle peut depuis qu'elle est enfant, superstitieuse : n'oserait par exemple pas souffler le nom de celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom de peur de ce qui pourrait arriver, tenace, tout comme sa rancune, malléable : il est possible, avec de la patience, de la faire changer d'idéologie sur beaucoup de points, en lui montrant d'autres réalités.

Signes distinctifs —

une peau laiteuse, des cheveux dont la blondeur concurrence parfois le blanc, des yeux aussi bleus qu'un ciel d'été, Daphne ne possède d'autre signes distinctifs physiques que son physique en lui-même, trahissant sans mal ses origines anglaises.

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All I needed was the love you gave
All I needed for another day

Chloé Delmare bu une gorgée de son thé aux orties, grimaça en sentant sa fraîcheur – elle sortit alors sa baguette pour tapoter le socle de sa tasse et faire ainsi s'élever une légère fumée de celle-ci –, s'humecta les lèvres et, de son sourire aussi radieux que sa voix pouvait être aiguë, reprit son histoire là où elle l'avait arrêtée le temps de se désaltérer. Tout le monde qui la connaissait le savait : si vous aimez parler plus qu'écouter, n'inviter jamais Chloé Delmare, jeune sorcière au sang-pur et tout droit venue de France, à s'asseoir à votre table. Gentille dans sa mesure, pleine de ces bonnes intentions qu'elle ne cesse de répéter, elle ne vous laissera jamais placer un mot dans la conversation aux allures de monologues si ce dernier ne lui servirait à alimenter son discours tournant autour de son sujet de prédilection : elle-même. Chloé Delmare était jolie sans être magnifique, ses longs cheveux d'un blond peinaient à se nouer sur le dessus de sa tête et ne cessaient de s'échapper en des mèches éparses autour de son visage, la poussant à y glisser ses doigts d'une finesse étonnante. Sa peau d'ordinaire aussi blanche que la neige s'était brunie d'un voile hâlé, trahissant là où elle avait passé ses dernières vacances en famille : sous le soleil, en plein mois de février. Ses lèvres étaient souvent gercées, faute de pouvoir se reposer à force des discussions qui n'avaient de cesse de s'échapper de sa bouche, et elle prenait grand soin à les cacher sous un rosé doux assorti à son blush de poupée. Souvent, on leur demandait, à Daphné et à elle, si elles étaient sœurs ; elles riaient alors d'une même voix douce et tantôt secouaient la tête, tantôt se plaisaient à raconter que oui. Du moins, lorsque Chloé laissait à quelqu'un l'occasion de faire entendre les sonorités de ses cordes vocales. Voilà une heure qu'elle n'avait de cesse de raconter ce qu'elle avait pu faire sous le soleil, les créatures magiques qu'elle avait aperçues – un air de dégoût se dessinait d'ailleurs le plus souvent sur son visage lorsqu'elle évoquait ces dernières –, et les accessoires qu'elle avait achetés. Et Daphné l'écoutait, un petit sourire accroché à ses lèvres, lâchant parfois un petit rire en secouant la tête. Elle qui, d'ordinaire, aurait lutté face à Chloé pour pouvoir placer quelques paroles dans la conversation, était aujourd'hui particulièrement silencieuse, au plus grand bonheur de son amie : l'attention était ainsi rivée sur elle. Le cœur lourd, Miss Greengrass n'était pas d'humeur à jouer à leur guerre d'ego habituelle, à celle qui jetterait dans la mare le plus gros caillou, sous la forme d'une information lui valant le droit d'être celle à qui la parole reviendrait. Elle jouait distraitement avec la cuillère de son propre thé, ne sentait déjà plus la fumée de l'eau chaude lui frôler le visage. Un sourire fier sur ses lèvres, Chloé tapota de sa baguette la base de la tasse de son amie pour en réchauffer le thé, la reposa avec délicatesse et prit à nouveau la parole, ponctuant le début de sa phrase d'un « où j'en étais moi déjà ? » qui ne servait que d'introduction : tout à chacun aurait su que Miss Delmare n'oubliait jamais à quel moment précisément elle avait pu s'arrêter de parler, pour pouvoir reprendre ensuite. Elle ne posa au premier abord pas de question sur l'état de Daphné : pourquoi ne parlait-elle pas aujourd'hui ? Aucune idée, et peut-être même aucune envie de le savoir avant d'avoir terminé son histoire – et Dieu seul savait si elle prenait fin à un moment ou à un autre. Un tintement de cloche sorti pourtant l'Anglaise de ses pensées, aidé du courant d'air qui s'immisça dans le café et lui provoqua un frisson dans le dos. Elle tourna la tête en direction de la porte et sentit alors son cœur manquer un battement, quand il avait pourtant pris l'habitude de s'emballer en sa présence. Charlie Weasley referma derrière lui et ses amis l'entrée, fit glisser son regard sur la salle, s'arrêta à peine plus longtemps sur la silhouette de Daphné, et se tourna vers ses amis en habillant son visage d'un sourire qui provoqua chez la sorcière une envie de s'échapper. Elle le suivit du regard sans doute un peu trop longtemps, le détailla lorsqu'il s'assit à sa table, à quelques mètres d'elles, d'elle en particulier, et sentit un nœud se créer dans sa gorge. Mordant l'intérieur de ses joues, elle tenta de ne rien laisser transparaître sans grand mal, habituée à donner le change. Relevant instinctivement le menton dans l'idée qu'il puisse tourner la tête vers elle, elle baissa cependant son regard vers sa tasse, passant ses doigts au-dessus du liquide pour les réchauffer dans la fumée brûlante. Les doigts manucurés de Chloé s'agitèrent alors devant ses yeux, avant qu'un soupir mécontent et qu'un claquement de langue ne résonnent dans sa bouche. « Daph ? Daph tu m'écoutes ? » lança-t-elle avec une exaspération qui, si elle avait été feinte, n'aurait pu être plus convaincante. Daphné releva les yeux vers elle et lui adressa un petit sourire, son coude posé sur la table, son menton à l'intérieur de sa paume. « Je t'écoute, oui. Tu parlais d'un murlap, donc ? » Un sourire ravi se dessina sur le visage de Chloé qui, s'humectant à nouveau les lèvres, reprit son discours sur les dits-murlaps et sur leur capacité innée à être particulièrement immondes. Quand bien même elle tenta de garder les yeux rivés vers elle, Daphné ne put les retenir indéfiniment de les tourner vers Charlie, et sentit quelque chose se briser au fond de sa poitrine lorsqu'elle croisa son regard bleuté. Le nœud de sa gorge gonfla et si ses yeux devinrent humides, elle tenta de garder cette contenance qui la caractérisait tant. Elle glissa le bout de ses doigts sur ses lèvres, sentant contre elles la pression exercée par celles de Charlie la dernière fois qu'elle le vit, et remonter la déferlante de sentiments qu'elle avait pu éprouver à ses côtés. Elle ferma un instant les yeux, inspira profondément et porta à sa bouche le rebord de sa tasse pour tenter de noyer le souvenir qui la hantait encore. Elle laissa un court instant le thé brûlant claquer doucement contre ses lèvres malgré la douleur qu'il provoquait, et pourtant, lorsqu'elle le reposa sur le bois verni de la table, elle sentait encore le souvenir du baiser comme celui d'un membre fantôme. Si son sourire s'affichait encore sur ses paupières lorsqu'elle fermait les yeux, si son rire résonnait dans le creux de son oreille alors qu'il n'était pas là, si elle sentait ses mains se poser sur elle à des endroits qu'il n'avait pourtant jamais effleurés, et si le malaise et la douleur provoquée par le spectre de Charlie près d'elle lui semblait déjà bien souvent trop forte, le revoir ainsi, alors même qu'elle avait compris depuis plusieurs rencontres fortuites qu'elle serait amenée à continuer de le croiser, la faisait souffrir comme jamais elle n'avait pu auparavant. Et pourtant, son sourire continua de fendre légèrement son visage, ses yeux se reposant sur la bouche agitée de Chloé qui n'en finissait pas de parler, et son index cueillant au bord de son œil l'unique larme qui coulerait aujourd'hui.

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Citation :: Si son sourire s'affichait encore sur ses paupières lorsqu'elle fermait les yeux, si son rire résonnait dans le creux de son oreille alors qu'il n'était pas là, si elle sentait ses mains se poser sur elle à des endroits qu'il n'avait pourtant jamais effleurés, et si le malaise et la douleur provoquée par le spectre de Charlie près d'elle lui semblait déjà bien souvent trop forte, le revoir ainsi, alors même qu'elle avait compris depuis plusieurs rencontres fortuites qu'elle serait amenée à continuer de le croiser, la faisait souffrir comme jamais elle n'avait pu auparavant. Et pourtant, son sourire continua de fendre légèrement son visage, ses yeux se reposant sur la bouche agitée de Chloé qui n'en finissait pas de parler, et son index cueillant au bord de son œil l'unique larme qui coulerait aujourd'hui.

la fin m'a donné la sensation d'une gifle. on ressent tellement la fatalité et le désespoir en Daphne suite à ce qu'il s'est passé entre eux, suite à la pression exercée par leur monde. Daphne est magnifique ; jamais Charlie n'aurait pu aimer une autre femme qu'elle, et jamais il ne le fera. je les aime d'amour, d'a m o u r .

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et moi je souris b ê t e m e n t, je suis vraiment trop contente qu'elle te plaise à ce point.

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Citation :: le miroir lui montrerait probablement son reflet, entouré d'une famille qu'elle aurait fondé avec un époux mais qui, lui, ne lui aurait été imposé par sa famille ; un visage flou se tiendrait à ses côtés, mais elle ressentirait en le voyant, malgré tout, l'emballement de son cœur dans sa poitrine, et cette joie qui nous soulève lorsque nous voyons l'être aimé, espérant pouvoir se lover dans ses bras.

Citation :: Daphné releva les yeux vers elle et lui adressa un petit sourire, son coude posé sur la table, son menton à l'intérieur de sa paume. « Je t'écoute, oui. Tu parlais d'un murlap, donc ? » Un sourire ravi se dessina sur le visage de Chloé qui, s'humectant à nouveau les lèvres, reprit son discours sur les dits-murlaps et sur leur capacité innée à être particulièrement immondes. Quand bien même elle tenta de garder les yeux rivés vers elle, Daphné ne put les retenir indéfiniment de les tourner vers Charlie, et sentit quelque chose se briser au fond de sa poitrine lorsqu'elle croisa son regard bleuté.

je la visualise tellement. comme dit raph, la fin donne vraiment une claque. elle est tellement belle, j'ai adoré te lire avec elle et j'ai hâte de suivre vos rp (votre lien est vraiment génial ) et qu'on se trouve des liens gosh.

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t'es adorable, je suis trop contente qu'elle te plaise aussi.
et avec grand plaisir pour les liens.