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Elon Nott.

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Elon Nott
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Elon Nott
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68

Feuille de personnage
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Elon Nott. _
MessageSujet: Elon Nott. Elon Nott. EmptySam 6 Mai - 12:31

ELON NERIAH NOTT

from prayers to broken stone
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Nom —
nott.
Prénom —
elon neriah.
Date de naissance —
le 22 décembre 1964.
Lieu de naissance —
le manoir nott, campagne anglaise.
Signe astrologique —
capricorne.
Nationalité —
anglaise.
Origines —
anglais de nationalité et d'origine, il a pourtant toujours soupçonné posséder du sang d'autres pays, remontant de lignées lointaines (principalement des pays nordiques comme l'indiquerait son nom) sans jamais chercher à approfondir la question : s'il se l'est posée à un moment, elle ne l'a jamais taraudé au point de chercher à y répondre.
Orientation sexuelle —
hétérosexuel.
Statut matrimonial —
quand bien même son célibat semble tentant à rompre, il ne serait que perte de temps de vous y atteler : s'il n'est actuellement officiellement engagé dans aucune relation, il est pourtant de ceux dont le cœur n'est pour autant pas à prendre, appartenant déjà à une et unique femme ; demelza fairchild, seule personne à qui il prêterait allégeance.
Emploi —
directeur du département de régulation des créatures magiques au ministère, il obtint cette place suite à la démission soupçonneuse de son prédécesseur, il y a bientôt six ans.
Casier Judiciaire —
le casier judiciaire d'elon, en bon directeur de département au ministère, est aussi vierge qu'un nouveau-né.
Je pense néanmoins que cette colère couvait au fond de lui en permanence. Telle sa maison, qui paraissait bien en ordre alors qu'elle se désagrégeait du dedans, cet homme calme, d'une impassibilité quasi surnaturelle, subissait pourtant les tumultes d'une fureur intérieure incoercible.  — Paul Auster.

Nature du Sang —
héritier de la prestigieuse famille Nott, il va sans dire que son sang est aussi pur qu'il est possible de l'être - de là en va la réputation de leur nom depuis la naissance de la lignée.
Ecole de sorcellerie —
digne descendant de la lignée Nott, et quand bien même n'étant pas voué à devenir un mage noir, c'est sur les bancs de Serpentard qu'Elon s'assit durant sa scolarité à Poudlard, nourrissant les effectifs de sa fierté, de sa capacité à diriger, de son dédain, son ambition, la noblesse de son sang et de son cœur, et ses facilités certaines à tomber rapidement dans la provocation, un sourire narquois relevant les commissures de ses lèvres.
Parcours Scolaire —
garçon puis jeune homme intelligent et studieux, intéressé par certains cours prodigués, ses professeurs n'eurent jamais à se plaindre de ses capacités ou des notes qu'ils écrivaient en haut de ses parchemins. sorti de Poudlard avec des notes majoritairement excellentes, il fut également membre du club de duel de Serpentard de sa quatrième à sa dernière année à l'école, et élu préfet au cours de ses deux dernières années à l'école.
Localisation —
oscillant entre le manoir des nott, qu'il évite pourtant le plus possible ces derniers temps, son appartement privé - protégé par un sortilège de fidelitas, pour s'assurer une paix totale - et le ministère de la magie, où il travaille.
Baguette —
taillée dans du bois d'épicia, symbole d'esprit vif et demandant de la poigne et de la conviction de la part de son propriétaire, elle possède dans son cœur un cheveu de vélane, lui donnant très mauvais caractère lorsque touchée par quelqu'un d'autre qu'Elon. d'une longueur de 28.7 centimètres, plutôt fine - se prédisposant ainsi à des sorts légèrement plus raffinés que la majorité -, elle est également suffisamment souple, faisant écho à la capacité de son maître à s'ouvrir au changement lorsqu'il lui est bénéfique.
Patronus —
son patronus, bien qu'il n'est pas en mesure de le faire apparaître à chaque tentative - notamment depuis quelques mois - prend la forme d'un lion blanc, symbole de vigueur, force, volonté, résurrection, protection, appui, défense, force triomphante, puissance, pouvoir, intelligence, insatisfaction, problème de contrôle de soi-même, d'autorité, de prestance naturelle, et aimant être valorisé, convenant parfaitement à un leader né.
Amortentia —
une note vanillée, mélangé à une douce odeur de jasmin jaune, de pivoine rouge, de bonbon à la fraise et d'herbe fraîchement coupée.
Épouvantard —
il prend la forme de Demelza, lui tournant le dos et disparaissant petit à petit, pour ne plus jamais lui revenir.
Pensine —
le soir de sa rencontre avec miss fairchild reste probablement, par dessus tous les autres souvenirs, celui qui est le plus capable de lui bomber la poitrine dans une joie à laquelle il n'était pas habitué avant de la rencontrer. vous a-t-on déjà parlé du premier jour du reste de votre vie ? de cette renaissance que parfois, personne d'autre que vous ne voit ou ne ressent. cette soirée fut, pour mr. nott, la première du reste de sa vie. ce tournant qui changea à tout jamais son existence, quand bien même la suite de ses histoires reste encore aujourd'hui incertaine. son sourire, le mouvement de ses longs cheveux bruns qui s'échappait du chignon qui trônait sur le dessus de son crâne, le détail qu'ombres et lumières projetaient sur son dos nu, et la robe noire aux allures de nuit étoilée qui soulignait ses courbes.. rien de tout cela ne pu disparaître de la mémoire de cet homme qui, alors, bien avant tout le reste, devenait un homme amoureux.
Miroir du Rised —
ne tentez pas de creuser trop loin : vous n'arriverez pas à deviner ce que le reflet du miroir afficherait pour elon nott, puisque lui-même ne l'aurait jamais su, quand bien même il aurait pu avoir l'occasion de se dresser devant son reflet améliorer. à quoi bon s'imposer la vision de quelque chose que nous n'aurions peut-être jamais ? la souffrance infligée par cette image idyllique ne vaudrait jamais le coup, aux yeux du sorcier, de contempler son rêve.
Particularité Magique —
aucune.
Allégeance —
neutre : il se refuse à prendre parti.

Traits de caractère —
fougueux ; protecteur - dans certaines limites ; vif d'esprit - pour ne pas dire très intelligent ; extraverti ; calculateur ; insatisfait ; souffre d'un manque de contrôle de ses émotions (s'il n'est pas colérique ou impulsif, il a pourtant du mal à gérer ses émotions, ce qui peut le rendre intérieurement instable) ; passe pour une force calme que l'on confond pourtant avec une colère froide bien réelle : il ne crie pas ; donne le change ; autoritaire ; dominant ; leader ; digne - voire fier ; présomptueux ; perfectionniste ; intolérant ; magnétique ; séducteur ; sarcastique; joueur ; difficile à mettre en confiance ; indépendant aux personnes - sauf cas exceptionnel ; instinctif ; fiévreux ; clanique ; fidèle ; exigeant ; perspicace ; opiniâtre ; déterminé ; cultivé ; individualiste ; charismatique ; rigoureux ; dédaigneux ; provocateur.

Signes distinctifs —
s'il n'a jamais été désireux de marquer sa peau d'un quelconque tatouage - « pas mon genre » -, Elon se démarque dans un premier temps de la foule de par son physique pouvant être considéré comme atypique : haut d'un mètre 96, les muscles et le corps fins, et une prestance naturelle, Elon n'est jamais passé inaperçu au milieu des nuées de gens. très bon dueliste grâce à ses années de pratique à Poudlard, il sait en maîtriser l'art, quand bien même l'occasion d'en user se présente rarement à lui ; il préfère malgré tout se tenir prêt. il possède également une cicatrice sur la joue et l'arrête de son nez, fine et blanchie par les années, souvenir d'un combat au poing avec un autre sorcier de Poudlard.
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WE'RE ALL ALIVE TONIGHT
« Il était un géant qui habitait aux Iotunheimar et qui s'appelait Norfi ou Narfi. Il avait une fille appelée Nótt, laquelle était noire et sombre, comme la race dont elle était issue. »
HER NAME WAS DEMELZA FAIRCHILD

Life had broken her; just as it had broken him. But when they got together, their pieces
became whole. And they continued on their journey, together, mended as one.

Steve Maraboli

J'ai entendu dire que les souvenirs restaient attachés à la mémoire par les émotions fortes, positives comme négatives, que l'on avait ressenties au moment de vivre leur objet. Que, comme si elles servaient de colle, les sensations que l'on avait pu éprouver jusque dans nos veines marquaient à leur façon le corps et l'esprit. Je parviens encore à me souvenir de l'odeur d'alcool qui embaumait l'air, et le rythme sur lequel les notes s'enchaînaient, affolées par le saxophone qui les portait. Le claquement des bouteilles les unes contre les autres teintait, tentant de tenir tête à la voix grave, redessinée par la fumée des cigarettes qu'elle glissa dans sa bouche pendant des années, de la chanteuse dont les cheveux se paraient d'une rose noire. Je me souviens de chaque détail, de la texture des robes qui frôlaient mes doigts, qu'elles fussent faites de satin ou ornées de perles, comme de la façon dont ils glissaient sur les rebords de mon verre. Et plus encore, je me souviens d'elle. Du regard qu'elle m'a lancé, souligné d'une effronterie délicieuse et d'un sourire à s'en damner, de cette façon qu'elle avait de déambuler au milieu des corps qui se rapprochaient les uns des autres, et de la voix de Jimmy lorsqu'il m'annonça le nom inscrit sur l'invitation qu'elle lui avait tendue. J'étais allé vers elle, terminant mon verre d'une traite et laissant le whisky me brûler la gorge, l'oubliant pourtant presque immédiatement ; j'ai observé la nuque qu'elle avait dégagée, le dos dénudé qu'elle affichait lorsque sa robe, d'un noir de nuit que les paillettes relevaient à la façon des étoiles, soulignait chaque courbe de son corps, de la ligne de ses seins au galbe de ses hanches. Arrivant à son niveau, j'ai posé une main sur sa taille et approché ma bouche de son oreille, pour y murmurer ce que j'avais cru être son nom. Elle s'est retournée et m'a regardé comme personne ne m'avait regardé avant elle, gonflant ma poitrine d'une fierté dont je ne saisissais pas encore les subtilités, et faisant naître sur ma face l'écho du sourire chaud qu'elle affichait. J'avais l'impression qu'elle me connaissait, alors même que nos chemins ne s'étaient jamais croisés ; elle semblait savoir chaque détail de ma vie sans que je n'eusse besoin de les lui dire, me donnait l'impression de me retrouver, en un seul regard jeté dans ma direction, face à quelqu'un que j'aurais connu toute ma vie. Je ressentais déjà cette évidence sans pouvoir la nommer, je me laissais porter par sa voix, les nuances qui s'y dessinaient, le son de son rire lorsque je parvenais à le faire naître, par les gestes qu'elle faisait, de sa façon de remettre derrière son oreille une mèche tentée par la vie sauvage à celle qu'elle avait de jouer avec le pendentif qui cognait contre ses seins lorsqu'elle s'agitait. La pureté de son visage et de la beauté avec laquelle il avait été dessiné m'avait frappé en plein cœur, qui se mettait à danser dans ma poitrine alors que je découvrais les mimiques qui l'habitaient et qui faisaient son essence ; j'avais pourtant l'impression de les connaître déjà, de pouvoir les prédire avant même qu'elle ne les fasse, et de les découvrir totalement en même temps. Grisé bien plus par sa présence que par l'alcool, j'ai laissé un flot de paroles que je ne contrôlais qu'à peine sortir de ma bouche pour atterrir au creux de ses oreilles, dans un naturel que je n'avais pas eu l'occasion de ressentir depuis longtemps. Elle continuait de rire, portant à sa bouche la main qui tenait son verre de rhum groseille dont la couleur faisait écho à celle dont elle avait peint ses lèvres, dans un sourire capable de faire tenir le mien sur mon visage bien plus longtemps qu'il n'y avait déjà passé. J'ai succombé à l'envie de l'embrasser, la prenant par la taille pour l'attirer à moi et, pourtant, lorsque mes lèvres s'approchèrent des siennes, elle sonna la fin de l'amusement, prétextant qu'il lui fallait rentrer. Je n'ai, ce soir-là, rien ressenti d'autre que l'impression d'un bien-être que je n'avais jamais connu auparavant, et l’incandescence qu'elle m'avait transmise dans des vagues de frissons lorsque sa peau avait frôlé la mienne. Je l'ai laissée partir, observant les lignes de son dos lorsqu'elle le tourna dans ma direction, la délicatesse avec laquelle elle remettait sa veste sur ses épaules, et sentant ma bouche s'étirer un peu plus lorsqu'elle m'adressa un signe de la main, cette touche mutine éclairant toujours son regard. Je l'ai regardée passer la porte du bar et, alors qu'elle disparut derrière elle lorsqu'elle se referma, aucun regret ne vint me tourmenter. Je savais que je la reverrais.

Et je l'ai revue. Elle est apparue au milieu des cages de la ménagerie magique, des piaillements, couinements, caquètements et autres sifflements, appelée par la voix abîmée de sa patronne. Je découvrais enfin son nom, qui me semblait pourtant bien plus familier qu'il ne l'était. Un sourire affiché sur son visage, s'avançant vers moi avec une aisance donnant l'impression qu'elle flottait, elle était venue à ma rencontre, ses registres à la main, dans lesquels elle plongea son nez pour finalement le pointer vers moi, sans se départir de son petit rictus dont le reflet s'était déjà dessiné sur mon visage, soulevant en coin la commissure de mes lèvres. Elle glissa entre mes mains, d'une délicatesse digne d'une mère, le chat que j'étais venu chercher, me souffla un prénom qu'il adopta – Jack, qu'elle surnomma par la suite Jackee –, et me toisant de cet air qui réchauffait chaque partie de moi. Je contemplais dans la lumière du jour la beauté qui m'avait déjà charmé et qui, une fois de plus, faisait vriller de ses charmes un cœur qui n'était guère habitué à ces émois. Et je retrouvais cette impression d'évidence, que je ne parvenais pourtant toujours pas à nommer ; elle était là, face à moi, à quelques centimètres à peine, et je savais qu'elle était à sa place à cet instant précis, qu'elle le resterait partout où elle irait et où je pourrais l'accompagner. Ou peut-être était-ce moi qui venais de trouver la mienne ? L'ordre des choses n'avait guère plus d'importance. Elle m'invita à dîner chez elle et, le soir-même, je découvrais la douceur de sa peau nue, son odeur, et le goût de ses lèvres dont elle m'avait privé le premier soir. J'ai connu la sensation de ses baisers qui glissaient de ma bouche à mon cou, continuant leur descente le long de mon torse et jusqu'à mon sexe, et celle de ses doigts qui couraient sur mon corps. J'ai pu découvrir du bout de mes lèvres chaque partie du sien, cartographier de mes baisers chaque infime endroit qu'elle m'offrait à embrasser pour les caresser ensuite de la paume de ma main et de la pulpe de mes doigts. J'ai laissé dans le sillon de ma bouche sur ses courbes des prières silencieuses en guise de remerciements à ce quelconque Dieu qui aurait pu la mettre sur ma route, car telle était désormais notre place, à l'un comme à l'autre. Je l'ai parcourue, redessinée, embrassée, caressée jusqu'à sentir mes lèvres se gercer, puis je l'ai embrassée encore, jusqu'à ne faire plus qu'un avec elle. Et nos lèvres scellées, nos souffles mêlés, nos doigts enlacés, je l'ai aimée pour la première fois, alors même que j'étais déjà amoureux d'elle. Jamais pourtant je n'ai ressenti le besoin de le lui dire, comme jamais je n'ai ressenti celui de l'entendre me le souffler. L'évidence s'étendait jusque-là ; on se suffisait à l'autre, on se comprenait, et sans se parler on savait déjà ce que l'on aurait pu se dire. Alors les « je t'aime » prononcés, probablement, auraient été superflus. Je savais qu'elle m'aimait, qu'elle m'aime encore, comme elle savait par cœur combien je pouvais l'aimer et combien je l'aime encore et l'aimerais toujours. Il n'avait suffi que d'une nuit pour que ma vie prenne un tournant auquel je ne me serais pas attendu ; elle était arrivée et avait bousculé de son mètre soixante-quinze, le bleu de ses yeux, le son de son rire et sa façon de taper du bout de ses escarpins lorsqu'elle était mécontente l'intégralité de ce que j'avais pu construire et déconstruire au cours de mon existence. Alors lui faire l'amour était devenu la plus belle chose que je connaissais, alors, quand je la quittais le matin, je ne faisais qu'attendre que le soir arrive plus vite pour la retrouver car, sans elle, je me savais incomplet. Elle était, lorsque je l'ai rencontrée, tout à la fois un reste d'adolescente et un bout de femme mélangées, et s'est développée entre mes bras, ses mains glissées dans les miennes, jusqu'à devenir la femme qu'elle est aujourd'hui. Si je ne suis complet qu'avec elle, je ne la sais complète qu'avec moi et, ainsi, j'ai la certitude que rien ne pourra jamais nous éloigner totalement, nous séparer jusqu'à ne plus nous retrouver. Pas même la pression du clan Nott exercée sur notre relation, pas même les choix que d'autres ont tenté de faire à ma place, dans mon idéologie comme dans mes alliances. Aujourd'hui je sais, plus que jamais, que je ne retrouverais ma place qu'à ses côtés. Je suis tombé amoureux de cette femme le premier soir où je l'ai rencontré, alors même que j'ignorais qui elle était et, six ans après, elle exerce toujours sur moi le même pouvoir d'attraction. Contrairement à bien d'autres, j'ai su dès le soir de notre rencontre qu'elle me changerait, quand bien même son nom m'était alors encore inconnu. Et son nom était Demelza Fairchild.
A JUNKER'S BLUES
Dépendance (n.f.) : ⑴ État, situation de quelqu'un, d'un groupe, qui n'a pas son autonomie par rapport à un autre. ⑵ Assujettissement à une drogue, à une substance toxicomanogène, se manifestant lors de la suppression de cette dernière par un ensemble de troubles physiques et/ou psychiques.

Les yeux d'Elon ne lâchaient pas la fiole. Elle se dessinait autour d'un liquide dont les nuances allaient du bleu de minuit au byzantium, fermée à un bouchon de liège. À peine sept centimètres de haut, pour deux de diamètre ; le liquide qu'elle contenait semblait tout à la fois épais et vaporeux, venu d'un ailleurs que ses lèvres avaient goûté alors que ses pieds ne le fouleraient probablement jamais. Il se mouvait dans une nonchalance presque provocatrice, dans un calme auquel Elon Nott aspirait souvent, lorsque ses émotions devenaient trop difficiles à gérer, mêlant entre elles les couleurs pour les dissocier ensuite, dans une danse de reflets d'un camaïeu qui lui était propre. Il tournait doucement la fiole entre ses doigts, les contours du goulot de la pulpe de son pouce. La potion continuait de le narguer. Dérivée du philtre calmant connut de tous et administrer en grande période de stress, elle était une création particulière et privée ; personne d'autre que Mr. Nott ne posait ses doigts dessus. Mélange ingénieux des ingrédients de base du philtre calmant et d'une légère dose de benzodiazépines – classe de psychotropes moldus, vulgairement appelés anxiolytiques, et dont le but premier est de traiter les troubles de l'anxiété, de l'insomnie, des spasmes, de l'agitation psychomotrice et autres convulsions –, elle avait pour vocation de lui procurer une sensation d'apaisement et de contrôle, de pouvoir sur ses émotions lorsqu'il ne parvenait pas à les gérer. Sans doute était-ce là le plus gros problème de Mr. Nott, qui le tourmentait depuis son enfance : aussi brillant pouvait-il être – Poudlard se souvenait encore de ses exploits –, cultivé et rigoureux, il cachait à la face du monde les résultats des travers que les familles de sang-pur pouvaient avoir. S'il ne portait pas comme un poids le nom dont il avait hérité, il se battait pourtant avec les séquelles que pouvait laisser une éducation stricte, basée sur le désir de préserver le prestige des uns et des autres. Aussi avait-on rapidement appris à Elon qu'il fallait étouffer ce qu'il ressentait, garder pour lui ce qui pouvait gronder, et se débrouiller pour gérer les orages qui parfois éclateraient en lui ; Jeremiah Nott n'avait jamais été quelqu'un de profondément calme, quand bien même il parvenait à afficher à la face du monde le visage d'un homme dont la froideur du sang n'était plus à prouver. Des coups de sang éclataient parfois dans le manoir, des objets se cassaient, des cris résonnaient dans les couloirs et s'étendaient dans chaque pièce de la bâtisse. Jeremiah Nott n'avait jamais été quelqu'un de calme, non, et son premier fils hérita de ce travers de caractère. Passant depuis des années pour une force calme, Elon Nott portait pourtant dans le creux de son ventre les affres d'une éducation bancale. Personne ne lui apprit à gérer ses émotions, personne ne l'aida à mettre de mots sur ce qu'il ressentait, et personne ne s'intéressa réellement aux conséquences que cela pouvait avoir sur lui. Ainsi ne sait-il que faire des émotions qui le tourmentaient. Tour à tour, il apprit seul à reconnaître colère, tristesse, joie, désarroi, à chercher comment les dominer quand pourtant elles lui échappaient. S'il réussit, à force d'entraînement, à dresser çà et là des barrières pour parvenir à les contrôler, s'il apprit à afficher face aux gens le visage qu'ils étaient désireux de voir – il donnait le change depuis son entrée à Poudlard, réussissant plus ou moins bien le défi qu'il se donnait à lui-même –, les plus fortes pourtant gardaient encore aujourd'hui l'ascendant sur sa personne. Alors, Elon chercha un moyen de les apaiser, et commença à les noyer dans la potion ; si le philtre calmant eut un effet positif sur lui les premières années d'utilisation, son corps fini pourtant par s'y accoutumer, et son mal-être par le frapper à nouveau de plein fouet. Lui vint alors l'idée, avec son frère, de créer le mélange qu'il observait encore, sous la lumière de sa lampe à huile. Marier le savoir sorcier aux inventions moldues. Et le liquide continuait de le narguer, agitant sous ses yeux une plénitude dont il avait oublié la sensation le jour où Demelza partit. Avec elle, il avait appris à laisser de côté mixtures et autres drogues, à se débarrasser de cette légère sensation de manque qui le prenait au corps quand les gorgées s'éloignaient les unes des autres. Elle suffisait à l'apaiser, d'un regard comme d'un geste, continuant même après des années de relation à gonfler sa poitrine d'une fierté et d'un bonheur à la fois simples et terriblement complexes. Mais Demelza n'était plus là ; échappée à Loutry Ste Chaspoule, ses mains ne venaient plus trouver les siennes lorsque le tourment recommençait sa danse dans son esprit, et peu à peu, Elon s'était senti replonger. Si ses prises furent autrefois contrôlées, exécutées uniquement lorsque les émotions négatives ressenties étaient trop fortes – de la colère intense à la tristesse profonde –, elles se suivaient désormais avec la régularité d'un métronome, plusieurs fois par jour, quand son esprit vagabondait trop loin et faisait remonter à la surface les souvenirs les plus heureux qu'il avait et qui, pourtant, se muaient petit à petit en les plus douloureux, lui rappelant qu'elle n'était plus là. Un soupir siffla entre ses dents lorsqu'il fit sauter le bouchon de liège pour porter la fiole à ses lèvres, rejetant la tête en arrière alors que les dernières gouttes qu'elle contenait s'écoulaient dans sa gorge. Ce soir encore, Demelza n'était pas là et, dans le vide de son appartement privé, Elon ne parvenait plus à lutter.
SOLEDAD Y VACIO

Et les étoiles à leur tour, comme torches funèbres, font les funérailles du jour.
Jean Racine

La petite touche d'exotisme que Soledad Nott, née Yaxley, portait en elle comme dans son prénom s'était éteint en même temps que la lumière dans ses yeux. L'écho de sa voix ne résonnerait plus contre les murs froids du manoir des Nott, la douceur de ses lèvres ne laisserait plus de trace aussi carmine qu'elles pouvaient être rares sur les joues de ses enfants. Le médicomage avait semblé perplexe face aux symptômes : fièvre, maux de tête, courbatures, fatigue allant jusqu'à l'épuisement extrême, difficultés à respirer. Il avait passé son nez surmonté de ses lunettes en demi-lune dans chaque livre qu'il pouvait avoir chez lui, avait cherché dans les maladies tellement anciennes qu'elles semblaient avoir disparu de la surface du monde sorcier, mais aucun traitement ne fonctionna. Peu à peu, la flamme dans le regard de Soledad Nott s'éteignit après avoir tant vacillé, emportée par une maladie sur laquelle personne ne semblait apte à poser de nom. Son mari comme ses enfants durent observer les derniers jours d'une mère qu'ils ne parviendraient plus à revoir, incapables qu'ils étaient de se faire une raison. L'agonie de Soledad dura trois, peut-être quatre semaines, durant lesquelles elle paraissait prête à se battre pour sa vie avec une hardeur qu'elle tenta jusque-là d'inculquer à ses enfants, leur apprenant à obtenir ce qu'ils voulaient et à y mettre les moyens nécessaires. Mais la maladie gagna du terrain et acheva sa course macabre dans le terrain de guerre qu'était devenu le corps de la matriarche le 7 février 1985, au crépuscule d'un après-midi glacial qui laissa l'écho de sa froideur se propager jusque dans le fond de leurs souvenirs. Terrassée par l'ironie peut-être encore plus que par la grippe que le médicomage n'avait été en mesure de soigner, elle souffla une dernière fois sur sa vie avant de la rendre à qui de droit, donnant aux moldus l'opportunité de rire de son sort ; elle, femme au sang aussi pur que pouvait l'être la neige à peine tombée du ciel, s'était laissée battre par une maladie qui, pourtant, n'aurait dû la toucher. La mère comme la femme étaient parties, main dans la main, sans un dernier regard pour ce qu'elles avaient engendré ; si elles pensaient les emporter, dans ce tout qu'elles formaient ensemble, amours et tristesses restèrent pourtant sur le pas de la route et, accompagnant mari, fille et fils, ne les lâchèrent plus de sitôt. Elon réalisa, au fil des jours qui s'écoulaient et semblaient s'allonger, qu'il n'entendrait plus la voix de sa mère s'adresser à lui, avec ce léger accent qui la teintait parfois, venu d'un ailleurs qu'elle seule semblait connaître, au plus profond de son esprit comme de son âme. Elle ne viendrait plus le trouver, poser sa main sur sa joue avec cette douceur et ce sourire que seule une mère sait porter sur son visage, lorsqu'elle sentirait que le besoin d'un tel geste le tourmenterait. Elle ne retrousserait plus le nez dans un mélange de tendresse et de sévérité face aux femmes qu'il ramènerait à son bras et qui ne lui conviendrait jamais assez pour son premier fils, celui qu'elle ne semblait vouloir accorder à personne. Bien plus proche de sa mère que de son père, Soledad et son aîné avaient tissé ensemble un lien dont la force était indéniable : ils n'avaient guère besoin de se parler, ne s'envoyaient de hiboux que rarement, lorsque le choix s'imposait de lui-même et que la situation le nécessitait, n'entretenaient aucune autre forme de contact dès lors qu'il partait à bord du Poudlard Express pour ne revenir qu'aux vacances d'été, et quelques fois pour Noël. Les mots étaient superflus, et aussi profonde la relation pouvait-elle paraître, aussi saine était-elle également. Soledad savait qu'Elon était là, comme Elon savait que sa mère n'était jamais très loin. Qu'elle portait en lui une confiance et un espoir défiant celui qu'elle semblait accorder à quelconque Dieu, le voyant déjà accomplir l'impossible avec une facilité qui deviendrait provocation. Elle se laissait parfois prendre au jeu de la justification, expliquait la proximité qu'elle pouvait avoir avec son fils par les difficultés rencontrées durant sa grossesse, attentivement surveillée. Floutant la frontière entre la petite inquiétude qu'elle continuait de porter à l'égard de son fils et celle de l'incommensurable certitude qu'elle avait à son propos, elle posait encore parfois la main sur son ventre en même temps que sur la joue de son enfant, rappelant à quel point elle avait pu ressentir une peur viscérale en risquant de le perdre avant même d'avoir pu le serrer dans ses bras. Combien de fois avait-elle souhaité silencieusement de ne pas disparaître trop tôt pour continuer de veiller sur lui, sur Talia et sur Azariah ? Combien de fois celle que l'on imaginait à la fois feu et glace, nuit et jour, avait pu sentir gronder la peur de ne pas pouvoir accompagner ses enfants dans le parcours de leur vie, de ne pas pouvoir leur apporter le soutien qu'elle voulait ? Beaucoup de rumeurs circulaient sur elle, cette étrangeté qu'elle semblait être, et sur les origines de sa beauté. Aucune n'osait imaginer l'amour qu'elle portait à ses enfants.

Elon ne pleura pas le jour de ses funérailles. Refoulant en lui tout ce qui pourtant le tourmentait, se déchaînait au plus profond de son ventre, il ne laissa aucune larme couler du coin de ses yeux ce jour-là, attendant avec une patience relative et un visage de convenance que le ciel, enfin, se teinte de noir et que la lune affiche minuit pour pouvoir relâcher tout ce qu'il avait accumulé depuis l'annonce de son décès. Une main posée sur l'épaule d'Azariah, ses doigts se resserrant parfois pour tenter de garder le contrôle de ses émotions, et l'autre tenant la taille de Talia, il avait observé le cercueil descendre dans la terre, dans un mélange de colère et de tristesse qu'il n'avait jusque-là jamais ressentie ; il n'acceptait pas. Il avait toujours été d'un calme d'apparence olympien, parvenait sans trop d'efforts à donner le change face aux regards trop indiscrets qui tentaient de le sonder, mais sur son visage, pourtant, se dessinèrent les expressions qui le trahissaient, le temps de quelques secondes à peine ; ses sourcils se froncèrent, sa pomme d'Adam tressailli sous la boule de larmes qu'il refoulait, et ses yeux se levèrent finalement en direction du ciel, aussi interrogateurs qu'accusateurs, et fixèrent les nuages qui recouvraient petit à petit la surface dont le blanc laiteux disparaissait derrière leur gris. Il resta ainsi quelques secondes, ferma finalement les paupières quelques autres, et baissa à nouveau la tête après avoir entendu la dernière pelle de terre s'abattre sur le boîte du cercueil. Il observa la pierre léviter jusqu'à venir couronner tristement la démarcation de terre retournée qui lui faisait face, et sous laquelle il ne pouvait s'empêcher d'imaginer sa mère. Presque aucun son ne sortit de sa bouche durant le reste de la soirée, les mots se retrouvant incapables de se former derrière la barrière de sa bouche. Les premières véritables phrases qu'il adressa alors se dirigèrent vers Azariah, dont il embrassa doucement le haut du crâne en voyant son regard embué. « Je sais que tu réussiras à vivre avec. » souffla-t-il finalement, caressant les cheveux de son frère pour tenter de s'insuffler à lui-même ce courage qu'il avait tenté de lui donner.
WHERE YOU BELONG
J'ai trente-deux ans aujourd'hui, et j'ai eu l'occasion d'apprendre bien des choses au cours des multiples années que j'ai déjà vécues. J'ai pris des claques, beaucoup, et j'ai appris plus de choses encore. J'ai connu la douleur lentement assassine de perdre quelqu'un qui nous est proche, la difficulté que l'on peut avoir à surmonter sa perte, et les longs mois de vide qui succèdent un décès ; j'ai expérimenté la longue phase de reconstruction nécessaire, et parfois je me demande si, douze ans plus tard, je ne serais pas encore dedans, à tenter d'apposer une à une les pierres d'un édifice qui s'est pourtant écroulé. J'ai appris que rien n'était réellement acquis, et que la vie était un combat constant pour quiconque voudrait la traverser. J'ai vécu des histoires déjà vécues mille et une fois et plus encore avant moi, et probablement à une intensité pouvant paraître bien plus basse que d'autres, et pourtant j'en ai chié autant qu'ils ont pu en chier aussi. J'ai pris des leçons, certaines plus dures à retenir que d'autres, et j'en ai donné aussi. Mais le plus lourd constant que j'ai pu faire, c'était de constater le manque de soutien qu'une famille pouvait apporter à ses membres. Je suis tombé amoureux, fou d'amour, face à un visage plus beau que je n'aurais pu le rêver, à des expressions enchanteresses et à une douceur dont je me plais encore à me targuer d'être l'un des seuls à avoir pu en profiter. J'ai nourri mon cœur avec ce qu'elle acceptait de me donner, lui ai donné en retour ce dont elle semblait manquer, et j'ai enfin compris ce qu'était le sentiment d'amour le plus pur, le plus sincère et le plus sain qui pouvait exister, au-delà du lien d'un parent et de son enfant. Et ce lien, j'ai tenté de le créer, et j'ai réussi, et j'ai tenté de l'amener face à ceux supposés m'apporter toujours leur soutien. Et je ne l'ai jamais eu. Évidemment, Azariah n'en a rien dit, n'a porté aucun jugement et, s'il restait silencieux face à notre père, je sentais pourtant qu'il ne m'affublait pas de la même honte que lui. J'ai cru que je pourrais vivre avec, et sans doute si la situation était restée telle qu'elle l'était alors, j'aurais réellement pu construire ma vie sans ombre plus vaste planant au-dessus de nos têtes ; ils n'auraient jamais eu à épouser Demelza, quand j'aurais pourtant éprouvé la plus grande des joies à l'idée de le faire. Nous aurions pu, eux et moi, continuer ainsi, si seulement ils n'en avaient pas décidé autrement. J'ai senti arriver autour d'elle un risque que je n'étais pas prêt à prendre, comme une épée de Damoclès qui passait désormais trop près de son crâne pour que l'on puisse continuer à vivre sans y prêtre l'attention nécessaire. Et j'ai ainsi compris que son sang leur importait plus que mon bonheur. J'ai refusé de mettre en danger sa vie et, pas assez égoïste pour chercher à la garder près de moi, je lui ai demandé de partir en lui imposant la fin de notre relation. J'ai vu se briser dans ses yeux la même chose qui s'était brisée dans les miens, et j'ai espéré qu'elle comprenne que je n'avais pas plus envie de la quitter que de mourir sans elle. Alors que j'avais toujours refusé de plier, je venais de le faire face à eux, de poser un genou à terre et de courber la nuque pour fixer le sol en guise de trêve, non pas dans nos conflits dont je savais que je ne verrais jamais la fin, mais dans la menace qui pesait au-dessus d'elle. Et j'ai décidé de partir. J'ai laissé souffler l'idée que je passais le plus clair de mon temps chez Enel, dont les tourments semblaient reprendre le dessus sur sa vie, pour m'installer dans un appartement dont l'adresse ne fut divulguée qu'à moins d'une poignée de personne. J'ai continué de passer occasionnellement au manoir, de m'endormir certains soirs dans les draps de mon lit, attendant simplement de pouvoir retrouver ce qui était devenu mon réel « chez moi », puisque je ne me sentais plus le bienvenu là-bas ; ou peut-être ne voulais-je tout simplement plus l'être, si elle ne se tenait pas à mes côtés. J'ai creusé au fur et à mesure une distance entre eux et moi, j'ai cassé dans mon esprit tout en continuant de l'afficher devant eux le « nous » que nous étions pourtant supposés être. Je commençais à amputer silencieusement les Nott d'un de leurs membres, comme eux avaient pu me couper une moitié de moi. J'ai compris le jour où ils m'ont forcé à tirer un trait sur elle que le trait ne serait jamais tiré que sur eux ; peut-être aurait-il mieux valu pour eux également de comprendre ce soir-là l'étendue de ce qu'ils venaient de faire, mais je doute malgré tout de l'impact que ça aurait pu avoir sur eux. Je sais bien que le manque de soutien n'est pas étendu à chaque membre de notre famille, que je peux trouver chez encore quelques personnes à l'intérieur de notre clan ce dont j'ai besoin, quand bien même je sais que je ne serais jamais défendu corps et âme face aux plus récalcitrants et aux plus extrêmes de notre famille ; je ne demande pas à l'être car, malgré tout, je saurais me défendre moi-même. J'ai trente-deux ans aujourd'hui, et j'ai pris des leçons tout au cours de mon existence, mais la plus importante est sans doute celle-ci : je sais que ma véritable famille ne se trouve pas près d'eux, mais dans une de mes propriétés privées, à Loutry Ste Chaspoule. Et si ma vie a pu se bourrer de doutes à certains de ses moments, clefs ou non, j'en ai pourtant un qui, désormais, est devenu certitude : si je ne crierai jamais à la vengeance, si je ne ferais pas couler leur sang, je ne leur pardonnerai pas la douleur par laquelle ils m'ont fait passer.
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Aizen Gillians
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MessageSujet: Re: Elon Nott. Elon Nott. EmptySam 6 Mai - 13:38

Elon, Elon, Elon Elon Nott. 1357702560 Elon Nott. 1357702560
moi, je la trouvais même pas assez longue sa fiche. Elon Nott. 1585764130 Elon Nott. 1585764130 trop hâte que l'on puisse les jouer ici, nos bff. Elon Nott. 3047935583
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MessageSujet: Re: Elon Nott. Elon Nott. EmptySam 6 Mai - 13:40

imagine si j'avais refait une anecdote, comment ça aurait gueulé. Elon Nott. 1585764130 Arrow
j'ai trop, trop hâte de les rejouer aussi tu penses. Elon Nott. 2298300132
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Gabriel Rosier
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MessageSujet: Re: Elon Nott. Elon Nott. EmptySam 6 Mai - 13:47

Elon Nott. 327399265 Elon Nott. 327399265 Elon Nott. 327399265
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MessageSujet: Re: Elon Nott. Elon Nott. EmptySam 6 Mai - 13:56

Elon Nott. 2298300132 Elon Nott. 2298300132 Elon Nott. 2298300132 Elon Nott. 2298300132
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Demelza Fairchild
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MessageSujet: Re: Elon Nott. Elon Nott. EmptySam 6 Mai - 14:09

Citation :
le soir de sa rencontre avec miss fairchild reste probablement, par dessus tous les autres souvenirs, celui qui est le plus capable de lui bomber la poitrine dans une joie à laquelle il n'était pas habitué avant de la rencontrer. vous a-t-on déjà parlé du premier jour du reste de votre vie ?

Elon Nott. 1585764130 Elon Nott. 1585764130 Elon Nott. 1585764130 Elon Nott. 1585764130

tu sais déjà combien je l'aime. Elon Nott. 3463512609 Elon Nott. 3463512609 Elon Nott. 3463512609 elon a été un énorme coup de cœur et c'en est toujours un. Elon Nott. 3365138009
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MessageSujet: Re: Elon Nott. Elon Nott. EmptySam 6 Mai - 14:13

dem, dem, dem. Elon Nott. 3463512609 Elon Nott. 3463512609 Elon Nott. 3463512609
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Damaris Duryae
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MessageSujet: Re: Elon Nott. Elon Nott. EmptyMar 9 Mai - 9:48

Elon Nott a écrit:
imagine si j'avais refait une anecdote, comment ça aurait gueulé. Elon Nott. 1585764130 Arrow

c'est clair Elon Nott. 3908392002 Elon Nott. 3908392002
bon, ta fiche est sublime Elon Nott. 1585764130
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MessageSujet: Re: Elon Nott. Elon Nott. EmptyMar 9 Mai - 10:46

t'es adorable mon chat. Elon Nott. 3463512609 Elon Nott. 3463512609 Elon Nott. 3463512609
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