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Even Crabbe.

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Even Crabbe
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Even Crabbe
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Even Crabbe. _
MessageSujet: Even Crabbe. Even Crabbe. EmptyDim 14 Mai - 13:00

EVEN CRABBE

minute by minute
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Nom —
Crabbe.
Prénom —
Even Marc.
Date de naissance —
vingt-six janvier.
Lieu de naissance —
tinworth, cornouailles.
Signe astrologique —
verseau.
Nationalité —
anglais.
Origines —
possède des origines françaises via sa mère, née Rosier.
Orientation sexuelle —
homosexuel refoulé.
Statut matrimonial —
célibataire, passant de bras en bras pour donner le change.
Emploi —
suite à un passage à tabac de Peter Pettigrew, sans aucune raison apparente -et il n'y en avait strictement aucune si ce n'est que la tête de Peter ne lui revenait pas-, il devint son laquet ainsi que son garde du corps, punition humiliante imposée par le Lord lui même, cherchant par là même à rappeler aux Crabbe que leur place est, depuis toujours, anecdotique.
Casier Judiciaire —
il fut arrêté pour agression, que ce soit contre des sorciers ou contre des moldus, manqua un renvoie de Poudlard après avoir utilisé la magie en dehors de l'enceinte de l'école, et pour ivresse sur la voix publique sur le chemin de traverse.
Tu vas dire : à cœur vaillant, rien d'impossible. Tu vas dire : un vainqueur ne s'avoue jamais vaincu, et un vaincu ne vaincra jamais. Tu vas sourire, mon garçon, tu vas leur montrer ce bon vieux sourire du combattant qui monte à l'assaut. Et puis tu vas monter sur le ring, et tu vas les frapper, fort, et vite, et au-dessous de la ceinture, et... Tu vas te battre. — jim thompson.

Nature du Sang —
sang-pur.
Ecole de sorcellerie —
Poudlard.
Parcours Scolaire —
son parcours scolaire fut des plus chaotique. Choisi par la maison serpentard, ce qui n'étonna personne et lui offrit le plaisir de recevoir une lettre de félicitation de sa mère, Even n'était pourtant pas destiné à devenir un bon élève, ni même un étudiant discipliné. Ecoutant peu en cours -écoutant seulement les cours qui pouvaient l'intéresser, préférant faire semblant de se foutre des autres alors qu'en réalité, il ne les comprenait guère-, il affectionnait particulièrement les matières suivantes : botanique, astronomie, défense contre les forces du mal et soin aux créatures magiques. Aussi étonnant que cela puisse paraître, Even obtint un O en botanique et un E en astronomie -nous ne parlerons cependant pas du reste-. Even, en plus d'être un mauvais étudiant, était également du genre bagarreur et fut connu pour quelques affrontements magistraux et "à la mode moldue" dans les couloirs de l'école -il fut assez rusé pour ne se faire prendre la main dans le sac qu'une fois-.
Localisation —
aux côtés de Peter Pettigrew ; sondant les rues de Londres ; ou chez sa mère, dans le village de tinworth.
Baguette —
bois de noyer (symbole d'amour), dent de farfadet, vingt-deux centimètres, prédisposée aux sortilèges offensifs.
Patronus —
incapable d'en produire un, il s'agirait pourtant d'une belette.
Amortentia —
l'odeur des roses, de l'encre, du whisky et du bois.
Épouvantard —
il prendrait la forme de sa mère, le regardant avec déception.
Pensine —
il s'agirait de l'enterrement de son père qui, aujourd'hui encore, semble parfois le hanter.
Miroir du Rised —
il se voit plus âgé, sa soeur, sa mère et son père encore en vie lui souriant.
Particularité Magique —
aucune.
Allégeance —
partisan de voldemort.

Traits de caractère —
agressif, toujours sur la défensive, bagarreur, prévisible, crâneur, borné, moqueur, familier, loyal envers sa famille, je m'en foutiste, manquant de maturité, irrévérencieux, fier, blessant, jaloux, obtus, étonnamment créatif, revêche, préfère se limiter à un petit groupe de personnes -se montrera pourtant à l'aise dans une foule-, semble n'avoir peur de rien -certains le jugent ainsi très bête-, possède un grand sens de l'humour -se heurtant pourtant à son manque de dérision- // perdu, sensible, facilement blessé, prend soin de cacher chacun de ses sentiments, peut se montrer très doux, prévenant et fragile (en particulier auprès de sa mère).
Signes distinctifs —
quelques cicatrices parcourent son corps ; sait parler aussi bien l'anglais que le français ; un tatouage sur les côtes fait par l'un de ses potes, les simples initiales "O.C".
Choses à savoir —
fils d'Oscar Crabbe et de Cecilia Rosier, il est le second enfant d'une union qui attira de nombreux conflits. Oscar rencontra Cecilia lors d'un voyage en France et tomba éperdument amoureux de la jolie blonde. Les Rosier n'approuvèrent pas ce choix, ayant déjà arrangé des épousailles entre leur fille et un fils d'une famille de sang-purs français, respectable et respecté. Cecilia brava pourtant sa famille, s'enfuyant vers l'Angleterre aux côtés d'Oscar qu'elle épousa dans une chapelle discrète d'un village sorcier du pays de Galles, entouré d'une petite poignée des amis de celui qui devint son époux, sa famille ne souhaitant plus avoir aucune nouvelle d'elle tant qu'elle n'ait pas recouvré son esprit. Oscar et Cecilia eurent d'abord une fille, puis un garçon, Even, qui fut le dernier à naître, Oscar se faisant assassiner quelques années plus tard à la sortie d'un pub -le doute plane encore sur cet évènement et suscita de nombreuses rumeurs ; en effet Oscar Crabbe, s'il était connu pour de nombreux vices, ne semblait pas être porté sur la bouteilles ; aussi quand la police conclu à une bagarre désastreuse entre deux ivrognes, le coeur de Cecilia s'enveloppa d'un doute, préférant ne pas exprimer ses inquiétudes quant à une revanche venue de France-. Plus Even grandissait, plus il semblait ressembler à son père, se construisait à son image. Il intégra la maison de Serpentard et fit ses études à Poudlard pendant sept ans, ne brillant pas par son intelligence si ce n'est dans le domaine de la botanique, une passion qu'il n'a toujours pas avouée de vive voix.
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Ses cheveux, avec le soleil, doraient légèrement comme les siens pouvaient dorer sous la clarté des astres. Son sourire mangeait une grande partie du visage de son enfant et un sourire, plus fin, plus discret, se dessina sur ses propres lèvres. Elle posa sa joue contre son poing fermé, croisant les jambes en faisant tournoyer les pans de sa robe. Les portes fenêtres du salon étaient ouvertes sur le jardin et Even y jouait avec un chien errant qui traînait souvent dans le village et dont personne ne voulait. Le chien ne payait pas de mine avec ses poils manquants, avec sa cicatrice sur le haut du crâne et cet air constamment en alerte qui terrifiait les autres gamins du village. Il leur faisait peur, mais Even ne semblait pas s'en soucier, Even ne s'était jamais soucié de l'aspect inquiétant du cabot. Son fils possédait peut-être la douceur des Rosier dans ses traits, mais son cœur, son âme avait été forgée à l'image de celle qu'elle avait connu chez son époux, des années auparavant. Une âme tempétueuse qu'aucune autre parole que celle ou celui dont leur cœur s'était enchaîné n'aurait pu calmer. Elle se souvenait d'Oscar, de ses colères si fortes qu'elles glaçaient parfois les tripes de leurs convives. Elle se souvenait de ce poing qui se fermait si fort que les jointures en devenaient livides et que l'on regardait d'un œil inquiet, attendant de savoir s'il s'abattrait, et où il s'abattrait. Les Crabbe avaient mauvais caractère, disait-on, et Cecilia en avait été témoin de nombreuse fois. Ils étaient primaires, ressemblaient à ce cabot qui montrait les crocs, qui grondait aussi souvent qu'il aboyait et dansait joyeusement autour d'Even. La vie d'un Crabbe n'était pas compliquée, elle ne tenait qu'à deux seules phrases : j'aime et je n'aime pas. Leur sang n'était pas froid comme celui de sa famille, les mots s'échappant de leurs lèvres n'avaient pas la douceur du miel, leurs manières franches et brutales attiraient les regards remplis d'un mépris que l'on ne cherchait pas à dissimuler. Sa propre mère avait ri d'un rire froid et mauvais quand elle lui avait confié être tombée amoureuse d'Oscar Crabbe l'année de ses dix-neuf ans. Cet étranger anglais ; elle ne comprenait pas toujours ses mots, mais le comprenait dans ses regards et dans ses sourires, dans la pliure de ses sourcils et des rides autour de ses lèvres, dans les fossettes qui apparaissaient quand il riait, une main barrant son ventre. Elle l'avait aimé, d'abord timidement, puis passionnément, quand lui, l'avait choisie du premier regard et l'avait dérobée à sa vie dorée. Cecilia Rosier n'avait jamais regretté son choix. Oscar l'avait comblée d'amour et d'attentions, lui avait offert la sincérité et la simplicité qu'aucun autre homme n'aurait été capable de lui offrir, et Oscar lui avait donné ses deux enfants qu'elle chérissait comme d'autres chérissent la chaleur du soleil. Cecilia Rosier soupira légèrement, replaçant une mèche de ses cheveux d'or derrière son oreille. Son sourire léger toujours présent sur les lèvres, elle appela son fils qui redressa la tête, se pencha vers le chien pour lui donner une claque sur le flanc. De sa démarche gauche, il traîna ses pieds jusqu'à elle qui l'attendait les deux bras tendus. Even vint se lover contre sa mère, maugréant en riant qu'il n'était plus un gamin de quatre ans, les câlins et les bisous on pouvait s'en passer. Cecilia savait qu'il mentait en sentant les battements de cœur apaisés de son fils contre sa poitrine. Elle embrassa son front, glissa sa main dans ses cheveux.
— Je te trouve fatigué Even.
Il secoua la tête, lui lançant un regard dans lequel elle pouvait discerner cette volonté farouche propre à son défunt époux. Cette volonté farouche qui se lia à cette autre facette, cette facette qui parfois la laissait incapable de trouver le sommeil la nuit. Cette lueur qui venait d'elle et d'elle seule.
— Non m'man. Ça va. J'ai passé la nuit à suivre l'autre Pettigrew comme son chien chien, ça me pète les couilles plus qu'autre chose.
— Langage, dit-elle en levant un index -un trait qu'elle n'avait pourtant jamais su effacer chez son mari, et qu'elle savait être une bataille vaine-.
— Est-ce que tout va bien mon chéri ?
Son souffle contre sa poitrine était tiède et doux. Elle l'entendit claquer sa langue contre son palais, chercher des mots qui ne sortaient pas, ne sortiraient pas. Car Even était le fils de son père, le fils de cette lignée primaire et brutale. Peut-être, s'il avait vu le jour dans une autre famille, sous un autre nom, aurait-il été capable de lui parler, de lui ouvrir son cœur sans qu'elle n'ait à en sonder les méandres, ses recoins les plus secrets. Cecilia Rosier se redressa, attrapant le visage de son fils de ses deux mains, liant ses yeux aux siens.
— tu es un Crabbe, Even. Et, en portant ce nom, de nombreuses choses te paraîtront difficiles, impossibles. Tu te sentiras piégé et incapable de parler, d'agir... tu ne sauras pas quoi faire et regarderas d'autres personnes y arriver avec une facilité qui te déconcertera. Tu t'interrogeras, tu te demanderas : pourquoi est-ce que cela me semble si compliqué ? Pourquoi est-ce que je ne suis pas plus comme lui, plus comme elle ? Ton père te ressemblait, ton père était un homme solide mais son cœur était celui d'un chien, loyal et juste, parfois bien trop tendre et influençable. Quand je l'ai rencontré, les membres de ma famille se moquaient de lui, le raillaient dès qu'ils en trouvaient l'occasion. Il n'était rien d'autre qu'un bouffon à leurs yeux, rien de plus que ce cabot avec lequel tu jouais tout à l'heure. Ils ne discernaient aucun courage en lui, juste une brutalité idiote et sans fondements.
Cecilia Rosier ferma les paupières, un sourire tremblant sur ses lèvres, envahie par les souvenirs de leurs années passées.
— sais-tu que je suis tombée amoureuse de lui non pas une fois, mais dix, cent, peut-être même un millier de fois ?
Son rire remplit quelques secondes la pièce, chaud et léger, défiant celui dont sa mère l'avait accueillie bien des années plus tôt, et gagnant sur lui, chassant sa froideur et son dédain. Oui, gagnant.
— Je tombais amoureuse à chaque fois qu'il écoutait son cœur, à chaque fois qu'il faisait ce que son cœur lui dictait plus que sa tête, à chaque fois qu'il bravait les concepts de sang et de famille, qu'il défiait le monde. Il était ridiculement petit, face à toute une communauté de sorciers, mais ton père s'en moquait. Je tombais amoureuse de lui à chaque fois qu'il écoutait son cœur, car c'est dans ces moments là, que je le voyais entièrement, que je le voyais pour ce qu'il était. L'homme le plus sincère que ce monde ait porté.
Elle ouvrit de nouveau les yeux, ses joues rosies par ses éclats de rire, ce bonheur fiévreux qui la prenait entièrement quand elle se souvenait de son époux.
— Tu lui ressembles tellement Even. Cette même force, cette même incompréhension face au monde, cette même fièvre, cette même passion, et cette même fragilité. Et, un jour, quelqu'un te sourira et tu auras l'impression que le monde s'est ouvert en deux, que sa carapace s'est fissurée jusqu'à disparaître pour te laisser fouler la terre d'un nouveau continent. Quelqu'un glissera ses doigts entre les tiens et toutes ces questions ne compteront plus. Tu l'aimeras de la même manière que ton père m'aima. Le mépris des autres n'est rien de plus que de la jalousie, la crainte face aux Crabbe qu'ils ne comprennent pas. Tu te rendras compte que, quand tu te demandais : pourquoi ne suis-je pas plus comme eux ; eux se demanderont pourquoi ils ne sont pas capables d'aimer avec la même passion que toi, pourquoi la vie n'arrive-t-elle pas à prendre cette teinte si lumineuse, si réelle que dans tes yeux.
Ses lèvres se posèrent doucement sur le front de son fils.
— Tu es le digne fils de ton père Even. Tu es le digne descendant des Crabbe, n'en doute pas et n'en éprouve jamais la moindre honte.

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Peter Pettigrew
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Peter Pettigrew
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MessageSujet: Re: Even Crabbe. Even Crabbe. EmptyDim 14 Mai - 16:48

Citation :
De sa démarche gauche, il traîna ses pieds jusqu'à elle qui l'attendait les deux bras tendus. Even vint se lover contre sa mère, maugréant en riant qu'il n'était plus un gamin de quatre ans, les câlins et les bisous on pouvait s'en passer. Cecilia savait qu'il mentait en sentant les battements de cœur apaisés de son fils contre sa poitrine. Elle embrassa son front, glissa sa main dans ses cheveux.

Citation :
Cecilia Rosier ferma les paupières, un sourire tremblant sur ses lèvres, envahie par les souvenirs de leurs années passées.
— sais-tu que je suis tombée amoureuse de lui non pas une fois, mais dix, cent, peut-être même un millier de fois ?

Citation :
Ses lèvres se posèrent doucement sur le front de son fils.
— Tu es le digne fils de ton père Even. Tu es le digne descendant des Crabbe, n'en doute pas et n'en éprouve jamais la moindre honte.

cette fiche raph, gosh, elle est sublime. Even Crabbe. 1585764130 Even Crabbe. 1585764130 Even Crabbe. 1585764130 les détails sur even, les dialogues avec sa mère, l'anecdote en général qui est tellement belle, triste mais douce à la fois. Even Crabbe. 2552085587 Even Crabbe. 2552085587 Even Crabbe. 2552085587 je l'adore. Even Crabbe. 3365138009
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MessageSujet: Re: Even Crabbe. Even Crabbe. EmptyDim 14 Mai - 18:49

c'est vraiment, vraiment adorable, je glousse toute seule Even Crabbe. 1563622145 Even Crabbe. 1563622145 merci beaucoup Even Crabbe. 1585764130
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MessageSujet: Re: Even Crabbe. Even Crabbe. EmptyDim 14 Mai - 19:04

je ne peux que confirmer ce que Manon disait, elle est superbe cette fiche. Even Crabbe. 1585764130 Even Crabbe. 1585764130

Even Crabbe a écrit:
— tu es un Crabbe, Even. Et, en portant ce nom, de nombreuses choses te paraîtront difficiles, impossibles. Tu te sentiras piégé et incapable de parler, d'agir... tu ne sauras pas quoi faire et regarderas d'autres personnes y arriver avec une facilité qui te déconcertera. Tu t'interrogeras, tu te demanderas : pourquoi est-ce que cela me semble si compliqué ? Pourquoi est-ce que je ne suis pas plus comme lui, plus comme elle ? Ton père te ressemblait, ton père était un homme solide mais son cœur était celui d'un chien, loyal et juste, parfois bien trop tendre et influençable. Quand je l'ai rencontré, les membres de ma famille se moquaient de lui, le raillaient dès qu'ils en trouvaient l'occasion. Il n'était rien d'autre qu'un bouffon à leurs yeux, rien de plus que ce cabot avec lequel tu jouais tout à l'heure. Ils ne discernaient aucun courage en lui, juste une brutalité idiote et sans fondements.

ce passage est particulièrement fort je trouve, et particulièrement beau aussi, dans ce qu'elle lui dit et ce qu'elle essaye de lui faire comprendre en même temps. Even Crabbe. 2552085587 il a ce quelque chose de très touchant derrière les apparences de gros dur, qui le rend véritablement profond et attachant, dans tout ce qui l'entoure. Even Crabbe. 2552085587 Even Crabbe. 2552085587
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MessageSujet: Re: Even Crabbe. Even Crabbe. EmptyDim 14 Mai - 19:36

je continue dans les gloussements pour le coup. Even Crabbe. 3463512609 je suis trop contente qu'il te plaise Even Crabbe. 2552085587 Even Crabbe. 3365138009 et j'ai trop hâte qu'on se penche sur leur lien avec Kinsey.
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MessageSujet: Re: Even Crabbe. Even Crabbe. Empty

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